Le match de tous les espoirs!!

merci paro, j'ai regardé , sympathique
beyouna: il vaut mieux avoir l'algerie
comme amie que comme ennemie
elle a pris des cours chez khaled

conditionnelle a écrit:

merci paro, j'ai regardé , sympathique
beyouna: il vaut mieux avoir l'algerie
comme amie que comme ennemie
elle a pris des cours chez khaled

elle a bien affuté ses couteaux elle zaussi !!!pour l'3id je suppose .....

Citation :

La pommade et la courbature


La Terre est bleue comme un ballon rond, aurait écrit un surréaliste soudanais. Ce qui, en gros, est censé expliquer cette folie planétaire, régionale et nationale du football qui, sur l’échelle de la raison, dépasse toutes les problématiques sociales, le chômage, le pouvoir d’achat, l’accès difficile aux soins ainsi que l’autoritarisme, l’absence de futur et l’excès de mayonnaise. 10 000 ans après le néolithique, le ballon rond est au centre du monde et tous les spécialistes se demandent encore si le monothéisme n’est pas apparu sous la forme d’un arbitre de football avec un sifflet. Ce qui a échappé aux Algériens c’est qu’au début du mois, l’Algérie a gagné une belle bataille, aussi purement esthétique que celle de Khartoum, celle de la plus belle femme du monde. Pour 2009, Miss Globe s’appelle Samah Gahfa, une Algérienne de 25 ans, architecte de formation, qui a, de fait, été plus belle que toutes les femmes d’ailleurs et que toutes les Egyptiennes du monde.

Autre victoire passée inaperçue dans la cohue des vestiaires masculins, celle de l’équipe féminine de karaté qui, lors du récent championnat d’Afrique, a non seulement battu à coups de pied toute l’Afrique mais aussi l’Egypte, que les Algériennes ont affrontée. La victoire est donc totale, celle de l’Algérie sur l’Egypte, les hommes sont plus forts ; les femmes sont plus fortes et plus belles. En attendant un combat de coqs pour savoir si l’algérien ou l’égyptien est le plus fort, ou de moutons puisque c’est la saison, il est temps de reposer la confrontation sur le terrain de la civilisation. C’est exactement sur ce point que les médias officiels égyptiens attaquent l’Algérie, un pays non civilisé, peuplé de sauvages à couteaux. Il faut le dire, ni l’Egypte ni l’Algérie n’ont gagné la bataille du progrès et de la bonne gestion. Un gros match nul où les perdants sont surtout les Egyptiens et les Algériens.


Par Chawki Amari

http://www.elwatan.com/La-pommade-et-la-courbature

22 novembre
Après match

J’aime Farid El-Atrache, j’adore Oum Kalsoum, et Abdelhalim Hafedh a bercé mon adolescence. J’ai eu l’immense plaisir de voir Adel Imam sur scène, et je n’ai jamais su si, dans ses romans, Nadjib Mahfoudh décrivait l’Egypte ou l’Algérie. J’ai été secoué par « L ‘Oiseau » de Youcef Chahine, et les mélodies de Cheïkh Imam m’ont longtemps accompagné.

J’ai lu avec fascination les écrits de Abderrazek, premier penseur égyptien moderne, comme j’ai lu avec passion l’histoire et les contradictions qui ont fait le mythe et la chute de Nasser. J’ai entendu des militants algériens de la première me parler de leur exil en Egypte, et comment ils y ont trouvé les appuis pour contribuer à transformer le FLN en mythe avant même de bâtir un état.

Je suis encore admiratif devant le culot de Aboutrika et son but dédié à Ghaza. C’est le même esprit dont parlait feu George Habache quand il parlait de l’Egypte, un pays avec qui les relations étaient pourtant très difficiles. Je me souviens encore de ce jour où, jeune journaliste, je prenais un café avec Geroge Habache et, quelques minutes plus tard, avec Nour Charif, venu assister à un conseil national palestinien : le second parlait d’engagement et de militantisme, le premier parlait philosophie et poésie !

Je peux encore parler de ces écrivains égyptiens qui ont refusé la déchéance, de ces hommes libres qui ont refusé de devenir les amis du prince pour éviter la cour de la honte, des militants qui refusent de se laisser aller à l’hystérie, et d’autres égyptiens encore, ces hommes qui donnent l’impression de vouloir ressembler à l’image que donnent d’eux les feuilletons.

Mais est-ce nécessaire ? J’aime l’Egypte, et ce n’est pas un régime autoritaire, ni un prince pressé de monter sur le trône, ni des poètes de cour, qui me feront changer d’avis. L’Egypte, ce n’est pas une puissance financière qui réussit à corrompre nombre de médias, ni des stars d’une télé de pacotille, ni des écrivains qui courbent l’échine à l’approche du chef ou du vice-roi.

L’Egypte, c’est bien plus, c’est bien plus grand. C’est un peuple qui sourit à la vie qu’il porte pourtant sur les épaules. C’est du talent, de la bonté, c’est de la générosité comme on ne peut en trouver qu’en Algérie ! C’est le pauvre qui partage le bout de pain, le malade qui réconforte le bien portant en lui racontant une noukta.

Les excès d’un match de football ne changeront pas cela. Même si des manipulations outrancières ont fait oublier à de stupides responsables égyptiens un devoir essentiel, celui d’assurer la sécurité et la dignité de leurs invités. Le chauvinisme qui en a résulté est choquant. Inacceptable. Intolérable. Y compris de la part de mes amis, ceux qui affirment à longueur d’année que la solidarité, la fraternité, l’amitié et les grandes valeurs de l’Humanité doivent demeurer primordiales.

Oui, j’aime l’équipe nationale de football.

Et j’aime l’Egypte, malgré les matches du Caire et de Khartoum.

Abed Charef

Même el Marikane est de notre coté , un article sur 03 page du Washington post
je ne savais pas qu'une grosse pierre avait raté Matmour '' white as a sheet" ça ressemble à notre expression " byedh kil hlib"

Citation :

Egypt-Algeria: when fair play died
By JOHN LEICESTER
The Associated Press
Tuesday, November 17, 2009; 6:01 PM
PARIS -- The first rock was thrown with such force that it traveled through the bus, smashing windows on its way in and out, Michel Gaillaud, a French doctor, recalls.
Panicked, he and the soccer players he treats dived for cover.
"We were bombarded with stones," Gaillaud says. "People were screaming. We were lying on the floor. Someone started shouting, 'There's blood! There's blood!'"
And fair play died.
Imagine the outrage and quick condemnations that would have followed had this been a star-studded team like England, Spain, France or Portugal that was attacked by hooligans in Egypt before a vital World Cup qualifier.
Imagine the stern repercussions had David Beckham, Fernando Torres, Thierry Henry or Cristiano Ronaldo ended up, like midfielder Khaled Lemmouchia, with a chunk of glass embedded in his scalp.
But these victims were Algerians. Africans. Nobodies, apparently. Because, to soccer's shame, the show went on as if nothing had happened. Having to field two players with head bandages, as Algeria did, is no way to play the game.
Not surprisingly, it lost 2-0.
A lucky escape for soccer officials. Who knows how Cairo might have boiled over had Saturday's result not kept alive Egyptian hopes of qualifying for the World Cup?
Even in victory, tempers flared. Egypt's Health Ministry says 12 Egyptians and 20 Algerians were hurt in post-match scuffles.
"Letting us play this match was reckless. I scarcely dare think what would have happened if we had equalized. We, the players, would have been in danger," Lemmouchia told French sports newspaper L'Equipe.
And what says FIFA, the supposed guardian of international soccer and the rules meant to govern it?
Nothing.
It is at a loss to explain why the match wasn't postponed or moved to another less heated venue after the Algerian bus was pelted with stones two days before the encounter, on a short trip from Cairo's airport to their hotel.
When called, FIFA's media office asked for a list of written questions and then provided this e-mailed response: "FIFA is currently reviewing the reports and documentation received on this matter. We are therefore not in a position to make any comments at this time, as the process is still ongoing."
The 2-0 result was enough for Egypt to finish tied with Algeria in their qualifying group. To decide which squad goes to South Africa next June, they'll compete in a playoff in Sudan on Wednesday.
Egypt is lucky to get this second chance.
As host, it was responsible for the Algerians' security. FIFA rules are clear: "Match organizers must guarantee, in cooperation with the local police authorities, the safety of the participating teams and their officials as well as the FIFA match officials during their whole stay, from arrival to departure."
The violence has precedent. In 1993, FIFA annulled Egypt's 2-1 win against Zimbabwe in Cairo in World Cup qualifying after Zimbabwe goalkeeper Bruce Grobbelaar says he was struck on the head by concrete and coach Reinhard Fabisch says he was hit by a rock and had a wound stitched at the stadium. Egyptian officials say fans hurled oranges, not rocks.

FIFA ordered the match replayed in neutral France. The scoreless draw ended Egypt's qualifying hopes.

This time, FIFA braced for trouble. It wrote to soccer authorities in both Egypt and Algeria asking for fair play.

One might think that Egyptian police could have protected a few players had they put their mind to it. Yet Gaillaud, the French doctor, says he was struck by how little security there was for the team bus to the hotel. He recalls just one police van, carrying four or five officers, traveling with it.
French journalist Guillaume Pivot, who was following behind in a car, says the bus had police motorcycle outriders, too.
"It was the sort of convoy that you get for a League One match in France. It was completely ill-adapted to the situation," he says.
Lemmouchia needed three stitches for his cut scalp; strips and a bandage were used to close a cut on the left eyebrow of defender Rafik Halliche; a couple of other players suffered minor cuts.
Less visible was the shock.
The first missile, for example, narrowly missed forward Karim Matmour.
"He felt the stone whizz past his head," Gaillaud says. "He was as white as a sheet."
Matmour lasted just half the match and was substituted.
"They were physically capable of playing, but were they mentally is a whole other question," the doctor says. "I doubt that they were at 100 percent of their capacities and, with that in mind, I think things were skewed."
"The match shouldn't have gone ahead."
John Leicester is an international sports columnist for The Associated Press. Write to him at jleicester(at)ap.org

http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2009/11/17/AR2009111703235.html

merci kamel eddine
je trouve que ce papier fait plus de bien à notre "cause" que tout ce que j'ai pu lire dans la presse nationale, c'est une bonne leçon de savoir écrire, de savoir dire, sur ce coup là, les égyptiens ne s'en remettront pas, ils ont plus qu'à faire libérer gilad chalit pour se racheter une conscience aux yeux du monde...

ah, au fait, reda city 16, il est pas poursuivi avec echourouk pour diffusion de fausses nouvelles, non seulement il a menti, mais avec le sacré "chahadtlou", comment on pouvait ne pas le croire?

Ca fait chaud au coeur de voir la grande majorité des médias étrangers nous soutenir et dénoncer le comportement irresponsable de la FIFA (le comportement crétin des médias et autorités égyptiennes ne méritant même pas qu'on s'y arrête), et ça fait encore plus chaud au coeur de voir combien ont manifesté une joie désintéressée pour notre qualification.

Mais c'est pas le cas de tout le monde. Il paraît que certaines personnalités françaises se sont inquiétées de voir des jeunes français sortir le drapeau algérien pour aller fêter la victoire. J'aurais aimé leur demander s'ils pensent que des jeunes Marocains, des jeunes Tunisiens ou des jeunes Palestiniens se sentent plus algériens que ressortissants de leurs pays d'origine. Je croyais que dans la peine, on pouvait tous être New-Yorkais. Et dans la joie, "Ich bin ein Algerien" ça ne marche pas?

J'ai bien aimé cet article du Washington post, l'anglais nous fait défaut mais là je l'ai trouvé facile comme tu dis zelig: c'est du savoir dire et écrire presque comme le papier de Yacin Temlali qui doit être dégouté de la tournure

Citation :

HANI CHOUKRE ALLAH, JOURNALISTE ÉGYPTIEN, À L’EXPRESSION

«Je ne suis pas fier d’être Egyptien»


«Je garde le souvenir de la participation de l’Algérie à la guerre d’Octobre 1973».

Hani Choukre Allah, journaliste-éditeur du journal égyptien Echourouk, exprime dans cet entretien son mépris et sa déception quant à la campagne médiatique qu’il qualifie «d’extrémiste», menée par les chaînes et les journaux égyptiens contre l’Algérie. Ecoutons-le.

L’Expression: Que pensez-vous de la féroce campagne médiatique menée par les médias égyptiens contre l’Algérie?
M. Choukre Allah: Je suis affligé et même très déçu par ce qui se passe en Egypte. C’est une campagne aveugle, ignorante et extrémiste qui a pris un caractère raciste et très bas. J’ai déjà écrit un article où j’ai exprimé mon point de vue sur cette campagne qui vise en réalité à détourner les regards des citoyens des vraies préoccupations de la vie. Elle reflète la situation historique des pays du monde arabe qui tentent d’orienter les populations vers des faux problèmes. Il ne faut pas perdre de vue que ce genre de situation arrange le système. Effectivement, pour lui, c’est beau de dire que l’Algérie est notre ennemie pour ne pas permettre aux gens de songer à d’autres sujets comme la démocratie, Israël, les arrestations et la mal-vie. Nul n’ignore que la société égyptienne bouillonne actuellement.

A votre avis, pourquoi cette campagne et spécialement dans cette conjoncture?
Tout est lié à ce rêve de décrocher le Mondial, c’est là qu’a commencé l’incitation contre l’Algérie. Pour éviter des éclatements et récupérer les masses, ils ont orienté les gens en leur inculquant l’esprit du patriotisme sportif. Alors que c’est faux, il s’agit de sentiments falsifiés.

Des drapeaux algériens ont été brûlés et piétinés, comment qualifiez-vous ces actes?
C’est de la folie! C’est inconcevable! J’écris justement, en ce moment, un article pour démontrer la décadence morale. Nous n’avons jamais vu auparavant de tels actes dans les autres pays. Certes, dans les compétitions européennes, il y a toujours des tapages et des conflits, mais ce qui se passe en Egypte est inconcevable et même déshonorant. Ce sont des actes qui ne sont pas dignes d’un pays. L’Egypte se comporte comme un pays sous-développé et mal éduqué. Pour moi, il ne m’est pas possible de reconnaître ce pays. En toute sincérité, je ne suis pas fier d’appartenir à ce pays.

Quelles seront les conséquences sur les relations économiques et diplomatiques entre les deux pays?
Je ne peux pas mesurer l’impact de cette cabale sur les relations qui lient les deux pays. Ce qui est sûr est que, quelles qu’elles soient, les conséquences seront néfastes dans le court ou le moyen termes. Les autorités haussent le ton dans les attaques contre l’Algérie. Pourquoi? Parce qu’elles sont parfaitement convaincues qu’à travers cela, elles réussiront à élever leur cote auprès de l’élite.

Y a-t-il des personnes qui partagent vos positions et que comptez-vous faire?
Effectivement, beaucoup d’artistes, d’intellectuels et de journalistes sont contre ces attaques féroces qui ciblent l’Algérie. Pour démontrer à l’opinion publique et internationale qu’il y a une voie qui s’oppose à cette propagande, nous sommes sur le point de publier un communiqué ferme et sévère pour dénoncer cette campagne médiatique extrémiste et ce climat de manipulation à l’encontre du peuple algérien. En termes plus clairs, c’est une phase d’inconscience que vit notre société. Nous voulons, à travers cette déclaration, éclairer l’opinion sur l’existence d’un courant qui refuse et rejette ces provocations.

Que connaissez-vous sur le peuple algérien?
J’appartiens à la génération du FLN et de Djamila Bouhired. J’ai des sentiments très profonds envers le peuple. Je garde le souvenir de la participation de l’Algérie à la guerre d’Octobre 1973. Malheureusement, l’Egypte s’est éloignée et elle n’est plus proche des pays du Maghreb et du Monde arabe.

Entretien réalisé par Nadia BENAKLI

Risibles élites !

Par Gamal Fahmi («Al Dostour », Le Caire, 23 novembre 2009)

Traduit de l'arabe par Yassine Temlali

Brûler l'emblème national égyptien est criminel. C'est, dans le meilleur des cas, le fait de voyous, dont la place naturelle est en prison ou dans quelque centre de redressement pour jeunes délinquants. Mais riposter en brûlant l'emblème algérien n'est pas moins criminel, ni moins voyou, ni moins décadent.

Chacun de ces deux drapeaux est le symbole d'une patrie et d'un peuple fiers. Pour chacun d'eux sont tombés de longs cortèges de martyrs ; certains dans la bataille de l'honneur, au bord du Canal (le canal de Suez, bande d'ignares !), d'autres dans les montagnes d'Algérie. La honte démente que nous vivons ces jours-ci fait certainement se retourner dans leurs tombes tous ces martyrs.

Et puisque nous en sommes à brûler nos drapeaux de nos mains, à l'instigation des chambres d'enregistrement des responsables de nos défaites, je tiens à préciser que j'écris ces lignes pendant que le criminel Shimon Peres, le président de l'entité sioniste, pollue l'air du Caire (qui ne manque point de pollution) de son haleine raciste. Nos frères voyous, qui se sont sentis soudainement une âme de héros et ont brûlé le drapeau algérien sous bonne garde policière, se souviennent-ils que Jérusalem est en voie d'être perdue et qu'Al Aqsa est menacé à tout moment de destruction ? Se souviennent-ils qu'Israël demeure notre véritable ennemi, qui a tué (et continue de tuer sur nos frontières) des milliers d'Egyptiens, dont certains ont été ensevelis vifs sous les sables du Sinaï ? Un de ces voyous osera-t-il brûler le drapeau israélien ? Ou bien craindra-t-il de recevoir de retentissantes gifles sur la nuque, de la main du plus bas gradé CRS ?

Nous avons aussi découvert ces derniers jours que les coeurs de certains débordaient d'amour pour Alaa Moubarak, l'aîné des fils du président (et, malheureusement, ils ne sont pas tous indignes de notre respect). J'ai été stupéfait de les entendre affirmer, sans peur ni détours, qu'ils le préféraient à son cadet, Gamal. Et pourquoi donc ? Parce que «Son excellence ne s'occupe que de business», ont-ils répondu, et que lorsqu'il a pris la parole à la télévision, il l'a fait à la manière des simples citoyens écrasés, les locataires des gradins de troisième catégorie. Mais lui a-t-il un jour traversé l'esprit de vivre l'écrasement de ces écrasés, ne serait-ce qu'une petite minute ?

Et puisqu'il en est ainsi et que d'amour il s'agit, nos «amoureux» ne tarderont peut-être pas à exiger qu'au cadet on substitue l'aîné, et que ce dernier hérite de nous pour nous gouverner à la place de son frère: ces légendaire émeutes footballistiques n'ont-elles pas prouvé qu'il était le prince adulé des stades ? Et s'il s'avère difficile que cette transaction s'accomplisse sur le mode du simple troc, les amoureux d'Alaa, j'en suis certain, se montreront disposés à payer la différence de prix.

Risibles élites qui ont fait rire aux éclats le monde entier !!!

Citation :

En plus d’une voiture de luxe : 2,640 milliards comme prime de qualification pour chaque joueur

Le Buteur vient de connaître la somme exacte que devront empocher les coéquipiers de Antar Yahia.

Contrairement aux différentes chaînes arabes qui ont estimé le montant de la prime de qualification au Mondial à 600 000 dollars, Le Buteur vient de connaître la somme exacte que devront empocher les coéquipiers de Antar Yahia. En effet, les joueurs de l’Equipe nationale devront toucher une somme digne de l’ampleur de l’exploit mais qui ne correspond pas à la somme exorbitante avancée par quelques médias. En effet, certaines chaînes ont déclaré dans leurs différents journaux sportifs que les joueurs algériens ont bénéficié d’une somme colossale de 5 milliards chacun en guise de qualification arrachée en terre soudanaise et ce, dès leur arrivée à Alger lors de la cérémonie que la Présidence de la République a organisée en leur honneur. Mais en vérité, les Algériens n’ont perçu que la prime de victoire réalisée à Oumdorman face à l’Egypte d’un montant de
10 000 euros, soit 120 millions de centimes. Une somme gonflée seulement de 2 000 euros par rapport aux primes habituelles. En ce qui concerne la prime de qualification, les autorités algériennes devront l’octroyer aux joueurs en concertation avec la FAF dans les plus brefs délais. Selon nos sources, la somme que la Fédération algérienne de football devra virer aux joueurs ne devra pas dépasser les 120 000 euros, soit 1 milliard 440 millions de centimes. C’était d’ailleurs la somme convenue entre l’ancien président de la FAF, Hamid Heddadj, et les joueurs durant le stage de France, à Villejuif. A cette somme, il faut ajouter la prime que le président Abdelaziz Bouteflika avait promise aux joueurs qui est de 100 000 euros. Avec un petit calcul, les joueurs devront toucher au total 2 milliards 640 millions. Si les titulaires devront toucher l’intégralité de cette somme, les autres éléments devront être payés selon le temps de jeu et leur participation au cours de ces éliminatoires jumelées. Même les joueurs qui ont été lâchés par le staff technique durant ces éliminatoires seront payés, selon le degré de leur participation, à l’image de Abdeslam, Meftah et Seguer.
Outre l’argent, les coéquipiers de Saïfi devront percevoir d’autres cadeaux de la part du principal partenaire de l’Equipe nationale qui a promis une voiture de luxe à tous les joueurs.
A. L.

2,640 milliards comme prime de qualification pour chaque joueur et pour les supporters retour à la réalité; rien que ça !!!!!!!!!!

C'était bien sympa de faire la fiesta pendant une semaine et de faire la guéguerre aux méchants égyptiens

C'était génial d'envoyer des milliers de gamins au Soudan pour montrer à Moubarek que c'est Bouteflika le plus fort et le plus aimant envers son peuple

En une semaine : oubliée la grève des enseignants, le manque d'informations et de vaccins contre la grippe A, oubliée la hausse des produits alimentaires de bases shuttttttttttt pas bien!!!!!!!!!!!

Là c'est le retour à la réalité les gamins n'ont pas eu cours pendant 3 semaines, la grippe A a fait 3 morts en Algérie, mon salaire a déjà été dépensé pour les factures et je n'ai même pas les moyens d'acheter 3 kg de viandes pour l'aid et la seule question que je me pose c'est pour quoi j'ai fait des études à quoi ça sert?

Si j'ai un gamin un jour je l'obligerais à faire du foot, les études c'est pour ceux qui n'ont pas d'ambitions

Je lui dirai : mon fils " si tu deviens footballeurs des présidents se battront pour toi, des foules s'entretueront pour te matchs et toi tu en profiteras pour te faire plein de frics " voilà mes nouvelles valeurs

Dénoncer le populisme rétrograde

je ne sais pas c'est la cAmpagne médiatique continue ou s'est arreté mais
il parait que le regime de moubarek ne sait plus comment sortir de cette
impasse, d'autant plus que l'état algerien n'a pas rencherit.

mais sinon j'écoutais la 3 et les gens qui appaellaient pour faire
des dédicaces, souhaitaient la bonne fête aux egyptiens, c'est bien
ils ne sont pas rancuniers et finalement les écrits d'echourouk
ne les influencent pas.

Moubarak le père a ordonné à "ses" médias privés de se taire (ou un peu ?)
enfin comme dirait khalti parodie rahoum ygoulou goult

conditionnelle a écrit:

il ne faut pas perdre de vue que l'entente a gagné le maroc
elle va jouer la finale avec la tunisie
et elle rencontre demain le mali pour la caf

on va être en guerre avec nos voisin de l'est, de l'ouest et du sud
l'égypte viendra par le nord par la mer , la flotte
us va lui donner un coup de main

Non, non !

y'a que les chettahats qui sont mauvais perdants !

L'Algérie félicitée par Blatter, le président de la FIFA

Citation :

la FAF vient de recevoir une missive émanant du président de la FIFA, où il félicite ouvertement notre pays à la suite de sa qualification au Mondial sud-africain.
"Veuillez recevoir, Monsieur le président de la FAF, en mon nom personnel et au nom de la FIFA, mes félicitations pour la brillante qualification pour le Mondial qui consacre le retour du football algérien sur la scène mondiale."

...En attendant les sanctions à l'encontre des ......... ( me rappelle plus de leur nom ) prévues demain Mercerdi!

La vengeance est un plat qui se mange à la régulière avec Lemouchia et sans mouloukhia !!

c'est confirmé pour le Maroc en février??? =