les évènement culturel

C'était le salon du livre antigone et non pas un festival

J'ai écouté le directeur du salon s'exprimer sur les ondes de la chaîne 3 l'autre jour ; apparament il en tiré un bilan plutôt positif (par rapport au nombre de visiteurs,nombre d'exposants et de maisons d'édition).

Il est clair que dans ce genre de manifestation on ne peut prendre en considération l'aspect quantitatif comme seul critère d'évaluation, la qualité doit forcément primer sur la quantité. Comme de toute façon je n'ai pas les données pour pouvoir juger de l'un ou de l'autre, je peux au moins dire que pour moi, c'était l'occasion de faire le plein en bouquins, profitant du choix et du comparatif entre les différents stands, ainsi que des rabais pratiqués par les maisons d'édition.
Donc ça c'est ma vision en tant que lecteur, "consommateur" de livres; la vision des pro de l'édition est une autre question, eux ils ont d'autres critères plus pointus

kimz a écrit:

Jamais deux sans trois ! À ma troisième virée aux pins maritimes cette aprèm j'ai eu la joie de voir Abdellah, Kamel Eddine, Sofiane H. et Yacine !
Riche récolte en livres au niveau des stands, mais surtout riches rencontres avec nos RECsistes, c'est passé vite mais c'était très agréable de vous voir !

Merci les gars, au plaisir

et oui j'a rencontré kimz et abdallah c'était bref mais troooop coool

Je crois qu'avoir rencontré certaisn forumeurs, est la chose la plus positive de ce salon. Plus particuliérement samia83, très jolie fille d'ailleurs sympathique et timide juste ce qu'il faut pour vous faire fondre. heureusement qu'elle m'a parlé de mon fils au départ, sinon je lui aurait chanter la sérénade sous la kheima autour d'une bonne chekhchoukha. les autres kimz et kamel eddine, pfffffffffff.

Vous l'aurez bien compris ce salon était un calvaire (du moins pour moi). Un sentiment me vient à l'esprit : le manque de respect.

D'abord envers les clients que nous sommes, caqr nous avons payé nos stands et nous avons été arnaqués : aucune prestation digne de ce nom.

Manque de respect envers notre profession : que l'on soit éditeur ou libraire ou importateur, c le même constat, on a rencontré toutes sortes de gens sauf ceux que l'on devait rencontré : transitaires, douaniers, comptables et agets de la safex et même pour les plus chanceux d'entre nous des flics.

Manque de respect envers les exposants etrangers, livrés a eux même dans un pays étranger. Je dis ça parce qu'il m'est arrivé d'exposer ailleurs et jamais je ne vécu un tel calvaire : espace payé mais introuvable, marchandise non livrée etc.

Manque de respect envers la liberté, vu la brutalité et la violence avec laquelle le stand de l'éditeur de Benchicou a été fermé. Ignoble ! a la tunisienne.

Et surtout manque de respect envers les auteurs, jetés n'importe comment dans une tente pour participer à des conférences animées par des gens non préparés à des heures impossibles devant un public de passage et en prime comme gisele halimi, avocate du fln, se faire traîter par le programme officiel de juive manipulatrice de l'histoire.

voilà mon salon du livre.

Connaissez-vous Paul Warfield Tibbets Jr ? Ce nom, qui sonne bien américain, ne nous dit pas forcément grand-chose. Mais il n'est pas totalement étranger à nos souvenirs, en même temps. C'est pour cela qu'une partie de notre mémoire ne lâche pas prise immédiatement. Elle tente de nous convaincre du contraire. Bien sûr que nous connaissons cet homme. Paul Warfield Tibbets Jr est l'homme qui a lâché sur Hiroshima, le 6 août 1945, une bombe atomique de 5 tonnes, tuant, très rapidement, entre 70 000 et 100 000 Japonais. Son nom restera à jamais associé à l'une des plus grandes tragédies du 20ème siècle. Mais pourquoi parler de cet homme, mort cette semaine, à l'âge de 92 ans ? Ce n'est sûrement pas pour célébrer sa mémoire tout de même ? Bien sûr que non. Mais cet homme m'avait toujours fasciné : parce que n'ayant jamais exprimé de regret d'abord. Pis, dans un cynisme typique de la soldatesque américaine, il a dit, au contraire, «je dors tranquillement chaque nuit».
C'est cette image de l'homme qui dort tranquillement qui m'avait tant fasciné. Comment peut-on être responsable de la mort de 100 000 personnes et dormir tranquillement, comme un loir dans un grenier ? Cet homme n'a fait qu'exécuter un ordre. Certes. Mais pourquoi alors s'identifier à cet ordre, même quand on l'a exécuté comme ce fut le cas à Hiroshima, pour l'assumer pleinement avec zèle, des années plus tard encore ?
C'est toute la complexité de l'homme qui est dans cette métaphore de la misère : «Je dors tranquillement chaque nuit.» Ils sont nombreux, ceux qui exécutent les ordres les plus abjects. Et tout comme ce soldat américain de la Seconde Guerre mondiale, ils dorment chaque nuit aussi bien que lui.
C'est comme cet homme, S. C., responsable au Salon du livre d'Alger. Je l'ai aperçu de loin, s'agitant comme un homme qui dort tranquillement. Dans son costume propre, palabrant avec l'assurance de la rectitude. Je ne donnerai pas son nom. Parce qu'il importe peu de le connaître. Et mon propos n'est pas de le dénoncer, lui, mais plutôt de dire une pratique.
Cet homme était journaliste, avant de trouver refuge dans une entreprise publique. Il avait écrit un roman sur l'affaire Khalifa, il y a presque deux ans. Son livre a été interdit à la vente et les quelques exemplaires qui avaient glissé au premier acte de la censure furent vite saisis par des barbouzes en mission qui avaient fait une descente chez les libraires.
Je me souviens de lui, me racontant dans le moindre détail son aventure, dans un café à Alger. Je ne le connaissais pas. Je ne l'avais jamais croisé auparavant et j'avoue que je fus, et je le suis encore, sensible aux tracasseries dont il fut victime. Je l'ai écouté avec toute l'attention qui se doit. Je n'avais pas aimé son livre, mais c'était secondaire comme détail. Nous ne jugions pas de la qualité d'une œuvre mais le droit à la libre parole.
Je revois cet homme, ses gestes, ses mains, sa déception, sa peur aussi. Il fut victime d'un effrayant harcèlement policier.
Je l'ai vu cet homme se plaindre du système. Me dire les difficultés qu'il avait à travailler. Je l'ai entendu me décrire ses péripéties professionnelles, les intimidations de la flicaille, les coups de fil tardifs, la perfidie de ses supérieurs… Il fut même écarté de son poste, de manière brutale, lui qui occupait une fonction importante de responsable au sein de cette même entreprise publique.
Il fallait l'écouter dénoncer l'arbitraire avec la voix des hommes en colère. Puis, je me souviens de lui, me rappelant au téléphone de manière régulière pour me supplier de chercher dans mon agenda le numéro de téléphone de François Gèze, un éditeur parisien très controversé dans les hautes sphères politiques algéroises chez qui je venais de publier un livre.
Et voilà que deux ans plus tard, cet homme censuré et humilié qui censure à son tour un autre livre, celui de Mohamed Benchicou, et prend sur lui la décision de vider comme un malpropre son éditeur. Ce même homme expliquant et assumant sur les ondes des radios nationales un acte de censure des plus vils.
Et voilà cet homme qui, immédiatement, se transforme en exécutant de la sale besogne, pour prendre l'aspect complet du soldat américain, Paul Warfield Tibbets Jr, le temps d'un scandale. Il n'a peut-être pas tué 100 000 personnes, comme à Hiroshima, mais il a, peut-être, empêché 100 000 personnes de lire librement ce livre et pouvoir ainsi en apprécier ou pas le contenu, en citoyen adulte. Le livre de Benchicou n'est pas la vérité absolue. Il n'est pas un dogme incontestable. C'est un point de vue qu'on aurait aimé soumettre à la critique, comme tout livre d'ailleurs. Passons sur les 1 200 autres livres interdits au salon, dont nous ne savons rien, ni les titres ni le contenu, d'ailleurs. Les interdits et les autodafés n'ont jamais fais avancer les débats.
Cet homme a dû, peut-être, recevoir l'ordre d'interdire le livre de Benchicou. Forcément. Mais pourquoi assume-t-il avec autant de zèle cette mascarade comme si elle était sienne ? D'autant plus que le livre en question est en vente libre dans les librairies. Naturellement, lui, l'homme censuré qui censure, s'est démêlé avec énergie pour avoir un exemplaire du livre interdit. Lui a droit à cette lecture mais pas nous. Nous sommes toujours dans le mépris, le mépris d'un système politique pour les gens que nous sommes. Mais, en fait, c'est quoi le système ? C'est qui ?
Je pense qu'il serait ridicule de penser que ce sont des gens tapis dans l'ombre qui constituent cette chose ignoble qu'on nomme le système. Le vrai système, c'est cet homme, ancien journaliste, ancien écrivain censuré qui censure à son tour avant de s'en aller chez lui dormir chaque nuit avec la tranquillité du soldat qui a bombardé Hiroshima. Bonne nuit.
SAS
sidahsemiane@yahoo.fr

Les éditeurs algériens dénoncent la censure des "Geôles d'Alger"

Les neuf plus grandes maisons d'édition de livre algériennes se sont déclarées solidaires de leur confrère INAS, éditeur du livre "Les geôles d'Alger" de Mohamed Benchicou et dont le stand au Salon international du livre d'Alger , a été arbitrairement fermé par les organisateurs. Dans un communiqué rendu public mercredi, elles dénoncent et condamnent "une censure - qui ne dit pas son nom - qui se généralise à tous les supports d’expression publique" et expriment "leur solidarité à l’égard d’un confrère victime d’une décision arbitraire".

Voici le communiqué dans son intégralité.
Communiqué. Solidarité des éditeurs


Dans l’indifférence générale, le stand des éditions Inas - dirigés par Boussad Wadi - est fermé depuis le deuxième jour du Salon international du livre, sur décision du comité d’organisation de la Safex. Peu de gens semblent s’en émouvoir.

Ce salon s’inscrit sous le signe d’un glorieux slogan « Libertés et imaginaire », alors même qu’il cautionne une action discrétionnaire. L’éditeur s’est vu brutalement cadenassé son stand au motif qu’il mettait en vente le dernier ouvrage de Mohamed Benchicou. Le prétexte est fallacieux : on lui a reproché d’exposer un livre qui n’était pas dans la liste envoyée à l’Anep avant le salon. Car chaque éditeur était tenu de soumettre une liste d’ouvrages à l’Anep bien avant la tenue du salon. Sanction, donc. Le principe même de cette liste est révoltant. Pourquoi un éditeur algérien devrait-il soumettre une liste des ouvrages qu’il a l’intention d’exposer lors d’un salon du livre se tenant en Algérie ? Au nom de quoi ? On peut comprendre que le comité d’organisation ait recours à ce procédé pour filtrer les livres venant de l’étranger, ceux de propagande religieuse incitant à la violence par exemple. Mais pourquoi s’attaquer à un éditeur national éditant un auteur algérien ? Le comité d’organisation, au lieu de s’occuper de Boussad Wadi, devrait plutôt, entre autres, édicter des normes d’occupation des stands et des règles d’exposition des livres, en interdisant par exemple que les cartons soient utilisés comme supports d’exposition, ou que les livres soient entassés à même le sol. Boussad Wadi a été sanctionné. Nous aurions tous dû l’être : certains d’entre nous (la majorité en vérité), n’a même pas envoyé de liste à l’Anep, par négligence, mais parfois aussi par principe. Où sont les sanctions ? Pourquoi ne vient-on pas sur chacun de nos stands vérifier si les livres que nous exposons sont en conformité avec la liste que certains d’entre nous - sottement disciplinés - ont pourtant transmise à l’Anep ? Nous sommes en effet quelques-uns à exposer sur nos stands des livres non répertoriés. Si l’on faisait le compte, entre les éditeurs qui, d’un côté, n’ont pas transmis cette liste, de l’autre en ont envoyé une, mais non exhaustive, la quasi-totalité des stands nationaux auraient dû subir le même sort que celui de Boussad Wadi.Une question enfin : Bousad Wadi aurait-il subi la même sanction s’il avait mis en vente un livre de cuisine ou de contes pour enfants, qu’il soit ou non listé ? Nous souhaitons exprimer ici, en tant que professionnels du livre, notre solidarité à l’égard d’un confrère victime d’une décision arbitraire, et condamner une censure - qui ne dit pas son nom - qui se généralise à tous les supports d’expression publique. L’éditeur de livres, le libraire, les acteurs du livre en général, occupent, dans notre pays, une place dérisoire ; ils parient sur la liberté de pensée et de l’imaginaire - la vraie liberté, pas le vain mot utilisé en guise de slogan.

- Éditions Apic, Barzakh, Casbah, Chihab, Dalimen, Hibr, Le Tell, Librairie Ijtihad, Omega International.

c'est honteux ce qui se passe.
j'ai cru que c'est moi qui n'étais pas en bon état, que je n'ai pas aimé ce salon"c'est tellement pauvre" que des livres identique (religion).
en marchant j'ai senti que j'étais dans un marché de.......(j'ose pas dire)
seul point positif c'est Abdallah,biensur pas que toi.j'ai pas raté l'occasion de chercher l'édition barzakh(sofian hadjajd et salma halal).c'est l'unique plaisir que j'ai eu.
mérci abdallah pour nous décrire l'atmosphére toxique que vous avez vécu,c'est pénible vraiment

Benchicou à la librairie hier après-midi : c tout chaud !!! en exclusivité pour le forum de REC :







sur cette dernière photo, de gauche à droite : Boussaad Ouadi, l'éditeur de Benchicou (editions Inas ) et deux anciens co-détenus de Med Benchicou. Je crois qu'au delà des positions et des idées de Benchicou (avec lesquelles on peur être d'accord ou non) ce livre est un témoignage très instructif et très poignant sur l'univers carcéral en Algérie. C'est — je crois — le premier livre sur les prisons depuis l'indépendance. Le dernier c'était "L'arbitraire" de Bachir Hadj-Ali (éditions Apic, 2006) sur la prison………… mais du temps de la colonisation.

oui, se serait intéressant de se pencher sur la question très complexe des détenus en Algérie, et d'une manière plus général le "monde" ou l'univers carcéral comme tu dis.
Si y a pas eu d'analyses sur le sujet, on entend dire par les uns que nos prisons sont une jungle au sens le plus bestial du terme; par d'autres que c'est des hôtels à étoiles ..
Un monde fermé sur lui-même, qu'en dit ce livre, je ne l'ai pas lu (qu'est ce que ce livre dénonce de si compromettant pour être interdit au SILA, bien que disponible en librairie ?)

Y a pas longtemps on avait parlé dans un des posts sur les prisons.
Pour rappel une émission de la radio El Bahdja, présentée par Salim Saâdoun, donnait la parole aux proches de détenus à qui l'emission était diffusée (dans les prisons), ça s'appelait "rayons de soleil" je crois, ça passe toujours ?

kimz a écrit:

Pour rappel une émission de la radio El Bahdja, présentée par Salim Saâdoun, donnait la parole aux proches de détenus à qui l'emission était diffusée (dans les prisons), ça s'appelait "rayons de soleil" je crois, ça passe toujours ?

L'émission s'appelait "soleil de nuit", mais je crois qu'elle ne passe plus.

Hello !
Parmi les évenements culturels cette semaime :

- Le festival international de la caligraphie, au bastion 23
- L'expo 7ibr wa waraq de Yacine Kacimi El Hassani (il est aussi musicien, fait parti de l'orchestre Albaycin en France dirigé par Rachid Guermès), toujours de la caligraphie au tout nouveau musée de la caligraphie, ça se trouve au palais dar Mustapha Bacha, sur la première zniqa à droite de Ketchaoua, vous montez environ 50m, y a un Hamam en dessous.
- L'expo "L'âge d'or des Sciences Arabes", au MaMa, le meilleur de cette expo c'est pas les oeuvres exposées mais la présence de M. Ahmed Djebbar, ion l'a écouté pendant 1h30 en passant par les différents stands, c'était fort !

À l'année prochaine,

Doumtoum !

wé, et faudrait que j'aille voir ça

le 21/02/2008:les regles du savoir vivre ds la societé moderne piece theatrale au ccf de tlemcen
le 11/02/2008:petit orchestre swing au ccf d alger
du28/01au08/02/2008le cirque a constantine
le30et31/01/2008 le groupe matzik(groupe de jazz et musique improvisée) au theatre de constantine

forzi a écrit:

kimz a écrit:

Hello !- L'expo "L'âge d'or des Sciences Arabes", au MaMa, le meilleur de cette expo c'est pas les oeuvres exposées mais la présence de M. Ahmed Djebbar, ion l'a écouté pendant 1h30 en passant par les différents stands, c'était fort !

Et le lieu aussi vaut le detour !!

Il habrite actuellement (du 20 janvier au 20 fevrier )l’exposition "Regards des photographes arabes contemporains".

Il habrite hoù hexactement ????? hou bien h'est-ce hune référence a Habri, l'hancien harrière central du What (helse????)

Hier et aujourd'hui hommage à Tlemçen et Oran au grand Abdelkrim Dali, ça se cloture avec un concert ce soir à l'hotel les zianides, pour ceux qui sont sur place

Grand Master Flunch a écrit:

le cinéclub de Chrysalide, présente Cycle PETER JACKSON
Présenté par : Abdelghani Raoui et Nacim Kaddouci
les jeunes années

programme du cycle à la filmatheque Zinet de Riadh el Feth

Bad Taste >> vendredi 8 février à 17h30
Meet the Feebles >>>vendredi 15 février à 17h30
Braindead >>> vendredi 22 février à 17h30
En Clôture
Créatures celestes suivi de Forgotten silver , vendredi 29 février à partir de 17h30

entrée gratuite et debat a la fin de chaque séance

J’ai été à la projection de Braindead : plus d’une heure et demie de franche rigolade. Mention spéciale pour le père McGrudder, vétéran de la bastonnade contre les forces des ténèbres.

Ce serait bien qu’il y ait de temps en temps des films de série B ou Z au Ciné Club.

Merci pour ton commentaire cela fait plaisir de savoir qu'il y a des amateurs faut dire qu'une partie du public lors de la projo de BAD TASTE a était tres rétisante pour ne pas dire autre chose cela nous a value un débat assé tres interaissant sur ce cinema de genre chose qui ne sais pas fait pour Braindead.

Merci A Abdelghani Raoui d'avoir était a la tete de cette initiative & a Nacim Kaddouci & au team de Cryzalide de nous avoir donner l'opportunité de voir ces films inédit sur grand écran en algerie

pour finir je croise les doight que ce genre de cycle ne sera pas la derniere initiative d'autres cycle ont été proposé dans la meme optique que celui de Peter Jackson donc
encore & toujours du cinéma de genre pour les fan des H.G.LEWIS,T.MIIKE,Alejandro Jodorowsky,T.HOPPER & bien autres

Alors j'ai raté un débat très animé pour BAD TASTE . Dommage.

Moi j'ai découvert le club il y a un peu moins d'un an, et j'essaie depuis de suivre ses programmations. J'ai été notamment à l'excellente Nuit Génération Courts, le 27 Juin 2007, où ils ont consacré une nuit entière à des courts métrages algériens.

Pour ceux qui ont raté voici un extrait du tract :

Citation :

Un bruit court qu’une nouvelle génération investit le cinéma algérien. Si l’information ressemble à une rumeur, c’est sans doute que la diffusion des preuves est des plus difficiles. Consciente de ce doute semé, Chrysalide choisit de lever le voile en offrant une soirée de présentation du travail en cours.

Prendre acte de cette nouvelle énergie déployée nous impose d’en présenter la diversité.
Chantier en construction, le monde des courts métrages algériens donne à voir des thématiques multiples, avec forces et faiblesses, entre tâtonnements artistiques et partis-pris assurés.

Pour cette nuit, Chrysalide propose une classification qui prend en considération les moyens à disposition des artistes, leurs conditions de création ainsi que les démarches mises en œuvre. Fruit de travaux d’ateliers/école (20h30), de cinéastes indépendants (23h30) ou de démarche d'Art Vidéo (02h00), cette sélection de films courts des années 2000 témoigne d’un(e) air (ère) nouveau (nouvelle) et annonce un avenir prometteur…

Espérons que The Show Will Go On.

Au TNA :
Pièce Fatma (en dialectal)
Le lundi 10/03/2008 à 15h
Le mardi 11/03/2008 à 19h

Pièce Fatma en Tamazight
Le merc 12/03/2008 à 19h
Le jeudi 13/03/2008 à 15h
Le vend 14/03/2008 à 16h

Pièce La maison de bernarda Alba
Le lundi 17/03/2008 à 15h
Le mardi 18/03/2008 à 19h
Le merc 19/03/2008 à 19h
Le jeudi 20/03/2008 à 15h

Vive Chrysa et vive Brahma

A partir d'aujourd'hui au Ciné Club Chrysalyde : Cycle Andrei Tarkovski.
Aujourd’hui à 17h00 : Andrei Roublev (1966)
Je n’ai pas le programme exact des films prévus, mais je crois qu’il y aura Solaris (1972) et un documentaire de Chris Marker sur Tarkovski.
Quelqu’un aurait il le programme complet ?