EMISSION DU 22 JANVIER 2008

Nombre de messages : 2299 Date d'inscription : 14/11/2006

Pour comprendre l'émission (ou du moins ma chronique Wink

) d'aujourd'hui, il faut d'abord passer par là
Ensuite, pour ceux (celles) qui suivent le feuilleton sur MBC Maghreb, désolée, de vous avoir gaché la fin, mais en fait, c'est seulement ce matin que j'ai compris qu'il y avait eu 33 épisodes sur la télé syrienne, et 30 sur les autres, et notamment sur MBC... et j'ai compris pourquoi ça commençait à s'embrouiller sans raison Sad

J'ai aussi découvert ce matin où télécharger tous les épisodes

Mon conseil : revoir à partir du 27ème épisode, même si la fin reste cousue de fil blanc et un hymne à la dictature, une justification du mal, malgré tous les efforts "techniques" et la bonne volonté des comédiens

Nombre de messages : 1472 Date d'inscription : 23/06/2007

merci OMK, quoique j'ai pas bien compris l'histoire du feiulleton ( je suis pas fan d'ailleurs lol ) ni à ce qui cloche mais bon, je jetterai un coup d'oeil Wink

moi j'ai retenu surtout ton image du jour
Quatrième jour du blocus Ghaza au bord de la crise humanitaire

Sad

Sujet: Re: EMISSION DU 22 JANVIER 2008 Mer Jan 23, 2008 12:51 am

L'émission d'hier soir de "ce soir ou jamais" présentée par Frédéric Taddei (qui s'est vu recemment attribué le prix Philippe Caloni qui recompense le meilleur interviwveur???) ou été présent henri guaino le "négre" à Sarko, répondant aux critiques de certains intellectuels entre autre Aminata Traoré (Essayiste et ex-ministre de la culture et du tourisme du Mali.)

http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/article.php?id_article=402&id_rubrique=185

Sujet: Re: EMISSION DU 22 JANVIER 2008 Mer Jan 23, 2008 4:23 pm

Et l'intro du Cheikh ??

N'y avez vous entendu aucune allusion à BEN BRIK celui sans qui "on ne peut faire de dialectique sans casser des Briks" !!

EMISSION DU 22 JANVIER 2008 Benbri10

Je vous poste ici l'interview qu'il a donné à Bérénice Rocfort-Giovanni (le Nouvel Obs) dans un article intitulé :

"L'Algérie devient un duplicata de la Tunisie"

Citation :: Taoufik Ben Brik est empêché de présenter son dernier livre, "Je ne
partirai pas", à Alger. Le journaliste et écrivain tunisien dénonce la
solidarité qui prévaut entre les régimes arabes et affirme que
"l'Algérie devient un duplicata de la Tunisie". Entretien exclusif.

Vous deviez tenir une conférence à Alger le 22 janvier. Pourquoi est-elle finalement annulée ?

- La rencontre portait sur la sortie de mon nouveau livre, "Je ne partirai pas", qui vient de paraître en Algérie aux éditions Chihab. J'ai été invité par cette maison d'édition et le Centre culturel français d'Alger, qui organisait une rencontre pour promouvoir le livre maghrébin. Dimanche, Pierre Barrot, l'attaché culturel de l'ambassade de France en Algérie, m'a appelé pour me dire que la conférence était annulée. C'est la présidence algérienne qui a contacté l'ambassade pour empêcher ma venue. J'étais pourtant prêt à partir, j'avais mes billets.

Est-ce le thème du livre qui posait problème ?

- Il parle de ce Tunis qui n'existe plus et qui est devenu Manhattan. C'est un ouvrage humoristique et littéraire. Je n'ai d'ailleurs pas pu le publier en France, parce que les maisons d'édition le jugent trop littéraire.

Comment expliquez-vous la décision de la présidence algérienne ?

- Tout a commencé en 2000. Abdelaziz Bouteflika a déclaré qu'il n'était pas question que je me rende en Algérie. La présidence algérienne affirme que ma venue dans le pays constituerait un incident diplomatique. Je suis déjà interdit de séjour au Maroc, en Egypte et au Liban. La solidarité arabe entre les régimes prévaut. En interdisant mon allocution, l'Algérie devient un duplicata de la Tunisie. Par ailleurs, il y a eu, en plus d'une solidarité algéro-tunisienne, une solidarité franco-algérienne.

En quoi gênez-vous les pays arabes ?

- Je suis trop libre, je ne mâche pas mes mots. J'ai l'expression avant d'avoir la liberté. Un régime démocratique, on le critique, moi j'abhorre le gouvernement tunisien, qui est un régime despotique. Il a fait de mon pays une prison sans barreaux.

Seriez-vous prêt à être moins virulent pour ne plus être rejeté ?

- Je ne suis pas virulent. Je ne peux simplement pas ne pas être en colère. Comme je l'ai déjà dit dans Le Nouvel Observateur, je suis un parrain dans une prison sicilienne. Je suis incapable de quitter ce pays, même si je dois être sans le sou.

Interview de Taoufik Ben Brik par Bérénice Rocfort-Giovanni
(le lundi 21 janvier 2008)

Journal: Le Nouvel Obs
Journaliste: Bérénice Rocfort-Giovanni
Edition du: 21 janv. 2007

Nombre de messages : 1472 Date d'inscription : 23/06/2007

tres interessant Exclamation

d'ailleurs je connaissais pas l'ecrivain bounce

merci forzi !!!! et c'est au cheikh de nous confirmer ............ bom

et merci aussi à la camerounese Wink

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