Quel est le dernier film que vous avez vu ?

l'ai bien aimé moi aussi dans le role de gitan pitt

moi le dernier que j'ai vu c'est "la vie des autres" , film allemand sorti le 31 janvier 2007
Réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck Avec Thomas Thieme, Martina Gedeck, Ulrich Mühe

Citation :

Au début des années 1980, en Allemagne de l'Est, l'auteur à succès Georges Dreyman et sa compagne, l'actrice Christa-Maria Sieland, sont considérés comme faisant partie de l'élite des intellectuels de l'Etat communiste, même si, secrètement, ils n'adhèrent aux idées du parti.
Le Ministère de la Culture commence à s'intéresser à Christa et dépêche un agent secret, nommé Wiesler, ayant pour mission de l'observer. Tandis qu'il progresse dans l'enquête, le couple d'intellectuels le fascine de plus en plus.. [resumé allo ciné]

depuis un moment je ne regarde plus les "Hollywoods" et ma foie y'a bien une difference
bo film,à ne rater sous aucun pretexte , facile a trouver sur emule , sinon me contacter pour vous le passer

Ce soir j'essayerai de me faire le dernier Verohven puisque tu parle de Hollywood Le monsieur est de retour chez lui et ca lui va bien voir tres bien j'ai vue une 30ene de minute du film et en sens qu'il y a plus cette poid qui lui pese dessus.

j'ai essayer de voir hier AVIATOR mais a bout d'une 1h je me suis endormis cela est rare pour un scoresse mais je le dit souvent le monsieur n'ai pas se qu'il était au temps ou en amérique 4 barbues nous balancé en plein poire des chef d'oeuvre depuis coppola se fait volé ces scéna et préféré investir dans le vignoble que dans la vrais écriture, Lucas vend des license pour des produits dérivée de la guerre des étoiles,Scoresse fait dans le remake de polars chinois,et enfin Speilberg s'investie dans la shora... vite mes médicament.

blague a part en Amérique il y a le cinéma indépendant des Gars comme Larry Clark,Harmony Korine et bien autre nous propose un cinéma bien particulier, même si l'asie risque de détrône le vieux contient et aussi contient zahma du cinéma dit d’auteur car depuis quelques année beaucoup de réalisateur asiatique s’investis dans ce genre de cinéma et cela leurs réussis vraiment inutile cité KAR WAI,Kim K Duk ou Kitano.

Edraum a écrit:

oui oui jai vu snach aussi
je vien de revoire aussi americain beauty,et death proof :D

il est comment le dernier tarantino j'ai bien peut que le monsieur c beaucoup embourgeoisé donc il ne se casse plus la tête il aspire tout se qui est le cinema d'exploitation de Russ Mayer en passant par les vieux films de la Blackexpoitation et nous balance ca avec du neuf...j'espaire qu'il sera a la hauteur car Kill Bill est une belle oeuvre mais un peut trop voir tres léché et loin d'étre profondément réfléchis comme Réservoir dog ou Pulp Fiction.

si tu a aimé américain beauty essaye donc Little Miss Sunshine c'est une belle critique de la société américaine,et si tu veut un bon film avec Kevin Spacey essaye donc Swimming With the shark.

pour moi tantantino restera un master j ai adoré tt c films et grindhouse (les deux volets j ai vrm aimé)et pui pulp fiction je ne me lass po de le regarder je decouvre tjr des truks en le regardant par exemple je sais pas si vous avez remarqué mai y a une scéne fe le film ou mya dine avec vincent et lui raconte le pilote qu'elle a tourné et si on fait attention a ce qu'elle dit elle parle exactmnt de kill bill alor que pulp fiction a été tourné en 1994 je crois jadooore tarantino

Salut à tous,
le dernier film que j'ai vu est The Prestige Réalisé par: Christopher Nolan
Avec: Christian Bale, Hugh Jackman, David Bowie, Michael Caine, Scarlett Johansson...etc
c'est un film sur la magie, j'ai trouvé le scénario original,
ce film traite de l'envie de l'étre humain à se surpacer pour atteindre la préstige...mais ça peut lui couter sa vie...en tous cas, c'est un film plein de rebondissements. j'ai literalement adoré.

A voir le casting & surtout le réalisateur j'en doute pas que ce film décolle,Nolan m'a vraiment bleufé avec son Memento que je recommande vivement a ceux qui n'ont pas encore eut l'occasion de le voir que cela soit sur un plan mise en scène ou scénaristique et il est plutôt doué le jeune british d'ailleurs il sauve sont honneur avec le retour de Batman après les nanards fait par les réalisateurs qui ont succédé a Burton,vivement le Dark Knight.

Citation :

Nolan m'a vraiment bleufé avec son Memento que je recommande vivement a ceux qui n'ont pas encore eut l'occasion de le voir

je suis tout à fait d´accord, j´ai vu Following, un chef d´oeuvre.
http://www.imdb.com/title/tt0154506/

Le dernier film que j´ai vu (hier ) est un film arabe, ATACH de Tawfik Abu Wael
http://www.imdb.com/title/tt0398713/
un film étrange mais beau et très dérrangeant mais j´adore le mouvement de la caméra et le peu de dialogue...

le résumé
Antonia Naïm - Pour La Palestine n°42

Un film de Tewfiq Abu Wael Abu Shukri et sa famille vivent au fond d’une vallée perdue, loin de leur village natal, dans une sorte de no man’s land annexé par Israël. Ils vivent dans une extrême pauvreté, habitant une construction désaffectée - une ancienne colonie ? un ancien check point ?- fabriquant du charbon de bois tiré des arbres que le père et le fils braconnent, la peur au ventre, dans un bois protégé.

La femme d’Abu Shukri essaie de protéger comme elle peut l’une des ses deux filles, dont on apprend vite qu’elle a été violée. C’est pour échapper au devoir de la tuer, comme le veut la tradition, selon laquelle être violée ou être complaisante revient au même, et pour se cacher du déshonneur, que le père avait donc décidé dix ans auparavant d’enterrer sa famille dans ce coin isolé où le drame va enfin se dérouler, comme dans une tragédie antique.

Atash est une œuvre très forte, radicale, qui aborde le conflit israélo-palestinien et l’occupation par le biais d’une tragédie familiale, certes, mais en y faisant régulièrement référence. La nécessité de canaliser la source voisine jusqu’à leur enclave (cette soif d’eau qui donne le titre au film), la nécessité de la protéger ensuite des incursions israéliennes (réelles ou imaginaires, car les images deviennent floues et presque oniriques), le long chemin que le fils doit faire pour se rendre à l’école, l’obstination à rester dans sa propre terre colonisée, coûte que coûte...

Et la tyrannie du père, sorte de padre padrone meurtri par l’injustice, croulant sous le poids d’une tradition qu’il essaie de préserver en empêchant toute intrusion de la « modernité », symbolisée ici par une pièce fermée qui abrite une radio, un sofa, un instrument de musique et que la mère décide d’ouvrir pour ses enfants pendant une absence du père. La mère, forte et faible en même temps, devient lumineuse lorsqu’elle apprend à écrire son nom, aidée par Gamila, la fille « maudite ». Elle qui, analphabète, aide son fils à partir à l’école en détournant l’attention du père...

Atash a été réalisé en un mois, avec des acteurs non professionnels, prodigieux, sobres, dans la région de Um El-Fahem, ville natale de Tawfik Abu Wael. Et non sans difficultés. Trouver l’argent pour le financer a été difficile, a expliqué le cinéaste, comme ce l’est toujours pour un Arabe israélien. Finalement, grâce au fonds Yhoshua Rabinovitch, au fonds Hubert Bals et à une chaîne de télévision, Tawfik Abu Wael, qui avait déjà réalisé des courts métrages et un documentaire remarqué, a pu terminer son film. Son producteur, Avi Kleinberger, avait déjà travaillé avec les cinéastes Costa-Gavras et Elia Suleiman.

Les images, d’une beauté froide qui ne laisse pas de place à l’émotion, évoquent le style du cinéma syrien. On pense au magnifique film de Oussama Mohammed, Sacrifices, et à la violence explosive de la famille paysanne dont il nous avait donné les images. Ici aussi, la cruauté familiale puise ses racines dans la société, même si le cinéaste se défend d’avoir voulu faire un film « politique ». « Il n’y a pas de film qui ne soit pas politique, mais ce sont les relations entre les êtres humains qui m’intéressent. Je n’ai pas voulu utiliser le conflit pour faire un film, j’ai fait un film sur des êtres humains. Les relations entre les êtres humains sont politiques. C’est là que je situe mon enjeu politique. Le conflit est présent entre les personnages, dans leur âme, dans la complexité de leurs relations, dans leur conscience. J’ai situé mon film dans une vallée près du village où j’habite, Um El-Fahem. Un village où l’Israélien est un étranger. Pour nous, l’Israélien, c’est l’Etat, c’est le patron pour qui on travaille, l’université dans laquelle on étudie. Dans Atash, j’ai représenté le monde d’où je viens [1]. » Pas de happy end, pas de héros dans cette œuvre qui ne fait aucune concession. La vie est souffrance, l’avenir est sombre. Mais reste la soif de vie...

b1 salamm 3licomm qui a vue the lake house

j´ai pas encore eu la chance de le voir....mais il parait que c´est un bon film

Merci Wideangel pour ta description du film, je trouve que c'est une trés belle histoire, trés réaliste aussi, ça retranscrit exactement le drame familial palestinien avec ces histoires de viols entre autre.
ce qui m'etonne chez les syriens c'est qu'ils cassent tous les tabouts, ils evoquent des sujets auquels nous algeriens on ne pensent pas forcement.
je pense qu'il n'ya pas beaucoup de dialogues car l'histoire parle de secret de famille, et le non dit passe obligatoirement par le silence.

Je viens de voir revoir et rerevoir !!! DREAMGIRLS
Une bande son fantastique , rhytm'n blues soul et music motown
Une jeune actrice issue de la "nouvelle star" americaine fait une prestation fantastique en chantant comme ... aretha , nina et les autres ...
A voir