l'égypte qu'on aime

Citation:
انتم يا مصريين والله دوختونا انا دخت .....كل يوم كل ساعة كل ثانية...نفس الكلمة مصر ام الدنيا ام الدنيا ام الدنيا؟؟؟؟والعرب مو حابين يخجلوكم ويناقشوكم بام الدنيا وخجلانين يناقشوكم؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟ جاوبوني ام ا لدنيا؟؟؟شلون ؟كيف؟ازاي يعني؟ انا ما فهمت ام الدنيا كيف؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟اذا اقدم حضارة واقدم تاريخ في العالم هو تاريخ بلاتد الرافدين قبل مصر الفرعونية ب 2500 سنة ....وشلون ام الدنيا اذا اقدم مستوطنة زراعية مأهولة كانت على نهر الفرات؟؟؟؟ذبحتونا با الدنيا؟؟؟؟البابليين والاشوريين والكنعانيين والسومرين وغيرهم وغيرهم كثير اقدم من الفراعنة ب2500 سنة.....ثانيا ما فهمت كيف اكبر دولة عربية؟؟؟من اي ناحية.,,,؟؟المساحة الجزائر والسودان اكبر .. بالتاريخ العراق اقدم بكثير؟؟؟بالقوة الجيش السعودي والسوري والمغربي والاردني اقوى بكثير؟؟؟من ناحية حجم الفول معاكم حق...,,,,,بعدين بتقولوا فراعنة فراعنة فراعنة...؟؟؟يا مصريين الفراعنة كانوا اسرة حاكمة بالعشرات والمصريين كانوا خدم عندهم والاقباط هم السكان الاقدم...وليس كلكم فراعنة من اسرة الفراعنة التي غضب عليها الله.....بعدين بتقولوا نحن نحن نحن انتم ايه يا باشا؟؟؟؟سوريا حاربت قدكم واكثر وانسحبتم من الجبهة في 1973 وخليتم سوريا تحارب لحالها 80 يوم....الجزائريين حاربوا اشرس واعند احتلال 130 عام. قال شو ام الدنيا قال,,,,فهمتم ولا اعيد الدرس ولا تحبوا اعطيكم دروس خصوصية

un arabe qui dit aux egyptiens, qui veulent le representer à la coupe du monde, ce qu'il pense d'eux,

Ce qu'on oubli souvent de préciser dans nos discussions sentencieuses, est que les réactions des égyptiens qui nous parviennent passent presque toujours par un amplificateur de taille, déformant aussi, qu'on néglige (volontairement ou involontairement) : le nombre de chaines télévisées privées et publics.

Si on avait eu ne serait-ce qu'une seule chaine de télévision type Chourouk, je crois qu'on aurait moins fait les fiers... et puis la stigmatisation m'étonne toujours, en particulier quand elle est basée sur des échantillons aussi représentatifs que sont des supporters chauvins ou des journalistes douteux qui ne font qu'alimenter de sensations le monstre qu'est la télé et ses shows déshumanisés.

C'est souvent la contextualisation qui nous échappe, ou qu'on laisse délibérément de coté dans nos réflexions, parce que, si, Déchainé, tu replaçais le "supporter" qui t'as traité d'égorgeur dans son contexte, si on revoyait le speaker hystérique dans sa boite à images à engranger de l'audimat, si on reconsidérait les quelques milliers d'internautes insultants et anonymes par rapport aux millions d'autres qui ne le font pas et ne le sont pas, si... on serait entrain de répondre simplement à ce poste !

et moi ce que j'aime de l'Égypte, c'est l'Égypte que j'ai vu avec ses habitants qui prennent toujours le temps de vous rendre service, ses vendeurs de jus de fruits qui vous désaltèrent généreusement pour 2 sous, ses jeunes qui vous accueillent et bien plus encore, ses gens qui vous disent akhi men el Gazair sans essayer de vous extirper des Bakchichs à tous les coins comme le font leurs flics d'aéroport, j'ai aimé ce pays qui comme nous essaye de dépasser sa misère dignement, qui vous offre une certaine sécurité dans ses rues même le nuit, ce pays ouvert à l'autre, et surtout j'ai aimé ce pays qui peut être accusée de tout sauf d'unanimisme dans l'insulte, il est trop riche de ses 80 millions de personnes pour se résumer à ça...

Je suis tout a fait d'accord avec le petit barbu du dessus !

Sinon voila l'egypte que j'aime :

et cella là alors

suite à l'appel de FORZI egypte conne aime ..... spéciale dédi a ally ..... je vais gagner tous les sets je crois

MAIS FRANCHEMENT, C'EST RIDICULE, TU NE TROUVES PAS, SANGI? ET R. CITY 16 N'ÉTAIT PAS MIEUX D'AILLEURS... (binat'na) MAINTENANT, JE DIS JUSTE:" TOUT ÇA POUR UN MATCH DE FOOT... ON EST VRAIMENT FOUTUS ALORS" (comme disait Guy Bedos)... Mais bon, puisque tu as gagné, je me tais.

Lettre à M. l'Ambassadeur de l'ex-Egypte

par Kamel Daoud
« Monsieur, j'ai longtemps résisté au plaisir malsain de vous écrire et j'ai longtemps résisté à la tentation juste de vous lancer les pierres que vos gueux ont lancées sur les nôtres, dans la capitale morte de notre arabité autrefois commune, le Caire. Je me suis dis que la politesse et la bonne éducation devaient me suffire comme métaphysique et comme hygiène ; mais voilà, vous continuez, même dix jours après votre défaite peu sportive. Vous continuez à nous insulter, en puisant dans des registres de plus en plus bas et de plus en plus immondes jusqu'à appeler au meurtre des Algériens sur vos chaînes et ondes.

Votre campagne anti-algérienne vous sert de feuille de figuier pour cacher votre position d'accroupis dans le monde, cela nous l'avons compris. Mais nous avons aussi compris autre chose. Nous avons compris que vous êtes mauvais perdants. Monsieur, il a fallu cette crise pour que je distingue cette arnaque qui vous sert de fonds de commerce : comme pour les ruines des pharaons dont vous vous servez comme gagne-pain et comme identité (étrange façon de se revendiquer de ruines comme guise de civilisation !), vous vous servez de l'arabité pour monter sur nos dos à tous.

Je regardais l'une de vos hideuses chaînes TV ces derniers jours et il a suffi d'une simple annonce pour que la lumière fût en moi : on annonçait un film égyptien sous le générique de film « arabe » ! Soudain, je compris l'arnaque qui dure depuis Nasser : faire passer tout ce qui est égyptien pour étant « arabe » pur. Une belle arnaque de vente concomitante et d'impérialisme culturel. A défaut de libérer votre géographie et d'en posséder de nouvelles, vous êtes donc passés maîtres dans la colonisation de l'histoire. Celle de l'arabité et des pharaons. Du coup, tout devint clair : il suffit d'attaquer l'égyptiannerie dominante pour qu'on soit accusé d'être anti-arabe.

Je pense que ce sport, monsieur l'ambassadeur, vous en rappelle un autre pratiqué par l'un de vos voisins tuteur. Et c'est cela qui m'écoeurera le plus : vous avez parasité l'arabité, ce folklore splendide que l'on veut transformer en identité et en idéologie alors qu'il n'est qu'héritage à honorer. Vous en avez fait un fonds propre alors que c'est un univers ouvert. Et c'est ce qui explique pourquoi aujourd'hui les médias de vos employeurs nous accusent de ne pas être arabes. C'est-à-dire de ne pas être égyptiens. Et c'est tant mieux : si l'arabité ressemble au visage hideux de certains de vos tambours médiatiques, gardez-là, nous pouvons l'enjamber pour monter les chevaux ou traverser le Gibraltar.

Monsieur l'ambassadeur, il est vrai que nous n'avons pas de « vie » culturelle, pas d'élite tapageuse, pas de salles de cinéma ni de « Nilollywood », ni de grands éditeurs, ni de bonnes danseuses de ventre. Mais j'aime, malgré le cliché émotif, répéter que, contrairement à vous et même au sphinx de vos ruines, nous avons le « nez » et la dignité. C'est ce qui explique pourquoi vous n'avez rien compris à notre réaction. L'oisiveté fait de nous des tribus éparses, mais une seule « hogra » nous transforme en décolonisateur. Et là, nous sommes décolonisés de votre culture. Nous n'en voulons plus au point de ne vouloir qu'être nous-mêmes, et pour cela, nous vous remercions. Vous nous avez montré le chemin.

Le plus étrange, monsieur l'ambassadeur, c'est que, comme tous les Algériens, nous avons été heureux à cause du match et nous avons bien ri à cause de vous. Allongé sur le sol de mon pays retrouvé, j'ai ri en regardant le prétendu chauffeur du bus de notre équipe « lapidée » au Caire, gémir comme la femme d'un Pharaon d'autrefois, montrant sa chemise déchirée (déchirée de devant ou de derrière ?) pour nous accuser de tentative de viol. Etrange répétition comique, bouleversante remontée du Nil du berceau algérien, du Caire au Soudan des sources. De quoi méditer et rire longuement.

Mais aussi de quoi être en colère longtemps après le spectacle affligeant offert par vos élites, spectacle de haine, de « racisme » culturel, de détestation. C'est comme si on vous a servi à déverser les frustrations cumulées par toutes vos guerres perdues et de vos crises de leadership devenues comiques dans un monde qui s'en passe. Le monde a changé et on est presque tenté de rire, malgré l'Egypte qu'on aime, de vos facéties de leader des Arabes et de vos contorsions pour occuper le statut de porte-parole d'un monde disparu.

Monsieur l'ambassadeur, Nasser est mort et vous ne voulez pas l'admettre et l'Egypte est morte à nos yeux et vous en êtes coupables. Ce beau pays est aujourd'hui un souvenir comme l'est pour vous la lignée des pharaons. Le feu n'a légué que de la cendre et la vôtre est bavarde en plus d'être grise et salissante. Le plus douloureux, pour moi, c'est que je ne sais plus quoi faire de certaines des images de vos splendeurs d'autrefois et de vos mythes qui ont accompagné mon enfance. Vous vous êtes révélé hideux et méchants, avec le pire visage que l'on puisse avoir : celui de gens morts qui ne le savent pas. «L'arabité made in Egypt» ? Gardez-la et mangez-la. Nous avons mieux à faire. Berbères ou barbares, nous sommes Algériens, enfin, et tout le reste n'est que danse du ventre.

Monsieur l'ambassadeur, je vais être franc: si je vous écris aujourd'hui, sachant que vous n'êtes pas à Alger, c'est pour vous demander de rester dans votre pays. Il a besoin de vous car le Nil n'est plus qu'un ruisseau sali par trop de cadavres. L'Egypte n'existera plus pour moi pendant longtemps et jusqu'à la disparition de votre employeur et de ses fils, monsieur l'ambassadeur».

http://www.lequotidien-oran.com/?news=5130168

Je commence à me poser des questions Parodie, tu ne serais pas Kamel Daoud par hasard, une fois sur 2 tu postes du Kamel Daoud, ou c'est toi lui, ou ton mari va finir pas aller lui casser la gueule...en préventif

yacine a écrit:

Je commence à me poser des questions Parodie, tu ne serais pas Kamel Daoud par hasard, une fois sur 2 tu postes du Kamel Daoud, ou c'est toi lui, ou ton mari va finir pas aller lui casser la gueule...en préventif

Désolée Yacine ...j'étais en communication avec les gens du CNAPEST ...au cas zou ça intéresserait quelqu'un ...la reprise est donc pour demain l'info vient de tomber ya 5 minutes ....
Par ailleurs ....ne te pose pas de question ya yacine ya weldi ..mr parodie ne cassera jamais la gueule à ...sofiane hajaj si tu vois ce que je veux dire
Par ailleurs ..aurais-tu oublié que ..il ya un topic spécial Kamel Daoud que tu dois apprécier autant que ..."presque ....nous tous "sur ce forum ??? ainsi que chawki amari ?
ce sont de belles plumes

Et puis ...je poste du kamel daoud tous les jours .....pas un jour sur deux.... tu sais pourquoi? Makra fi yassine Temlali cependant ...quel dommage je vais être très occupée les jours à suivre .....

Nb: j'ai adoré ce passage :

Citation :

Le plus douloureux, pour moi, c'est que je ne sais plus quoi faire de certaines des images de vos splendeurs d'autrefois et de vos mythes qui ont accompagné mon enfance. Vous vous êtes révélé hideux et méchants, avec le pire visage que l'on puisse avoir : celui de gens morts qui ne le savent pas. «L'arabité made in Egypt» ? Gardez-la et mangez-la. Nous avons mieux à faire. Berbères ou barbares, nous sommes Algériens,

Egypte-Algérie. Mohamad Abdel-Samad, Egyptien travaillant à Alger, et rentré à la hâte en Egypte, exprime sa tristesse.

« C’est sûr, je reviendrai en Algérie »

« Personne ne pouvait croire qu’un simple match de foot allait bouleverser la vie d’une vingtaine de milliers d’Egyptiens vivant en Algérie ». Mohamad Abdel-Samad, un jeune Egyptien de 33 ans qui vient de rentrer en Egypte deux jours après le match, est bien triste. Il vivait en Algérie depuis deux ans en toute sécurité. Mais aujourd’hui, il a dû quitter ce pays à la hâte, laissant derrière lui tous ses biens. Jusqu’aujourd’hui, ce directeur du service informatique d’une des grandes entreprises égyptiennes en Algérie ne réalise pas ce qui s’est passé. « Durant les deux ans que j’ai vécus en Algérie, je vivais comme un roi, seulement parce que je suis égyptien. Ce peuple nous aime beaucoup », raconte Mohamad. « J’ai beaucoup de collègues, de voisins et d’amis algériens et on a souvent parlé de ce match, mais cela ne dépassait pas la plaisanterie », raconte-t-il aussi.

Pour lui, la crise actuelle a commencé par des provocations sur le site Facebook. « Les médias algériens ont été bien plus intelligents que les nôtres. Ils nous ont provoqués et ce sont nos présentateurs égyptiens qui ont diffusé ces mensonges ». Ensuite les choses sont allées de mal en pis, lorsque le bus de l’équipe a été attaqué en Egypte. « Suite à l’attaque du bus algérien, j’ai reçu un sms d’une amie algérienne me prévenant de ne pas descendre dans la rue et de ne pas parler en dialecte égyptien dans la rue. Au début, j’ai pensé qu’elle exagérait, jusqu’au moment où un Algérien m’a appelé sur l’interphone et a commencé à m’insulter », relate-t-il. Le lendemain, il s’est rendu au travail comme d’habitude, mais a préféré ne parler à personne durant le long trajet de plus d’une heure. Une fois arrivé au bureau, les regards de ses collègues algériens n’étaient pas très amicaux.

Au contraire, ils cachaient une sorte d’animosité envers lui, chose à laquelle il ne s’attendait sûrement pas. Mais quand il a entendu des rumeurs de cas de décès de supporters algériens au Caire, « j’ai tout de suite pensé à rassembler mes collègues égyptiens, environ 27, et leur ai demandé de quitter le bâtiment tout de suite. Cinq de nos collègues algériens ont insisté à nous accompagner ». Il poursuit : « Après, on s’est dirigé vers la plus proche résidence pour Egyptiens. Il n’était donc pas très difficile pour les Algériens de nous retrouver et la guerre a commencé ». Des pierres, des flammes et toutes sortes d’insultes ont empli le lieu. Ils appelaient à la vengeance, d’autant plus que le journal télévisé de 20h n’avait pas démenti ces histoires. « On était attaqué de partout. Nos amis algériens essayaient de nous protéger en criant dans leur dialecte qu’il n’y avait pas d’Egyptiens avec eux ».

Après plus d’une heure sous ces feux, 5 agents de police nous ont aidés à nous enfuir et nous cacher dans un camp militaire. Comme il n’y avait pas de vol pour l’Egypte — le bureau d’Egyptair était brûlé —, des billets pour l’Italie ou la France ont été réservés pour rejoindre ensuite l’Egypte. « C’est en larmes que nos cinq amis algériens sont venus nous dire adieu au camp militaire. Ils nous ont acheté de la nourriture, de l’eau et même des cigarettes. Ensuite, le maire de la ville nous a rendu visite avant notre départ et s’est excusé auprès de nous ».

L’expérience est peut-être difficile, mais Mohamad n’a pas changé d’avis sur ce peuple qu’il apprécie. Alors, il compte bien revenir en Algérie. « C’est sûr, je reviendrai en Algérie. Car il ne faut pas mettre tous les Algériens dans le même sac », insiste-t-il.

Chaïmaa Abdel-Hamid

une seule solution : saccageons tous les sacs

le site de dzairnews piraté par les egyptiens
laakouba le grand torchon et ses suiveurs

l'égypte se désiste de l'organisation de la coupe d'afrique de handball