yasmina khadra à la tête du CCA à paris

Nombre de messages : 3489 Date d'inscription : 03/12/2006

Du nouveau dans le Yasminagate : Une attaque sans surprise de Leila Aslaoui la femme qui écrit plus vite que son ombre (mais aussi mal que son ombre également) Néanmoins ça vaut le détour :

Le «koursisme » n’est pas seulement la course pour le siège éjectable, c’est une opinion, une conviction, un mode de pensée, un savoir-faire. Lorsqu’on en est atteint, on ne peut pas s’appeler Mohamed Benchicou, Boualem Sansal, le commandant Azzedine, ou Abdelaziz Rahabi. Le profil du koursiste est bien défini. L’exemple tout à fait récent nous est fourni par Mohamed Moulesshoul, alias Yasmina Khadra, nommé et installé mardi 13 novembre 2007 à la tête du Centre culturel algérien à Paris. En d’autres temps, j’aurais vivement et sincèrement applaudi à cette nomination car quoi de plus judicieux qu’un homme de culture à la tête d’une structure culturelle et qui plus est à l’étranger ? Pour avoir lu tous les ouvrages — Tous sans exception — de cet écrivain, je ne saurais décrire avec des mots l’admiration sans limites qui était mienne pour sa plume libre et son ton tout aussi libre. L’ex-commandant Mohamed Moulesshoul ne m’a pas laissé, quant à lui, indifférente car ce n’est pas commun dans notre pays de voir un homme choisir la plume au détriment de sa carrière. Mais aujourd’hui Mohamed Moulesshoul, alias Yasmina Khadra, ne peut nous interdire — quand bien même la critique l’insupporte et nous sommes nombreux à avoir conservé le souvenir de son «coup de gueule» contre El Khabar qualifiant l’un de ses journalistes de «criminel» (voir El Watan 2 novembre 2006) au café littéraire du Salon du livre en 2006 — de nous poser des questions. Et ce pour une raison évidente. L’homme dit avoir été honoré de la confiance placée en lui par Abdelaziz Bouteflika. Que signifie donc ce mot pour ce dernier lorsqu’on sait que ses ministres nommés, renommés, reconduits par lui, ont été l’objet de colères bouteflikiennes publiques, dix jours, quinze jours après leur nomination ? L’autre raison réside dans le fait que Mohamed Moulesshoul, alias Yasmina Khadra, avait publié un réquisitoire très sévère contre le régime actuel dans El Païs (quotidien espagnol) le 1er juin 2007. Je l’avais, pour ma part, lu dans l’édition du Soir d’Algérie du 3 juin 2007. J’ai conservé l’article parce que j’avais trouvé les mots justes et tout à fait conformes la réalité. Je ne pensais pas m’en servir. Aujourd’hui, j’en reproduis quelques extraits : «Dans ce monastère triste et désœuvré qu’est devenue l’Algérie tous les clochers sont en berne. Fêlés, misérables et laids telle est la fanfare préférée de nos gouvernants... A chaque banqueroute, ils nous promettent de revoir leurs copies et de se corriger et oublient l’essentiel. Ce ne sont pas leurs copies qui sont en cause mais eux-mêmes. Lors des dernières élections législatives, le peuple algérien a été clair. En n’allant pas voter, il leur a signifié qu’il ne voulait plus d’eux. Jamais un taux d’abstention n’a été aussi péremptoire et expéditif. Ce cri de désespoir a-t-il été entendu ? Non ! Les mêmes incompétences nous proposent les mêmes malheurs. Le peuple algérien se retrouve à la case départ : otage du système pourri face aux mêmes incertitudes.» La chronique est plus longue, j’ai choisi quelques extraits les plus significatifs. S’il n’y avait pas eu ce réquisitoire, l’on aurait pu se montrer indulgent et se dire que Mohamed Moulesshoul a fait preuve de candeur politique. Mais, que s’est-il donc passé pour que le même Moulesshoul, alias Yasmina Khadra, ait soudainement découvert des vertus au «système pourri» ? (ses propos à lui). «La confiance placée en lui» est plutôt à mettre dans le registre langue de bois. Non, la réponse est ailleurs : Mohamed Moulesshoul a déclaré aux journalistes présents lors de son installation officielle qu’il préparait un ouvrage sur la réconciliation nationale entre Algériens. Voilà tout est dit dans cette réponse. Inutile de tenter de retrouver le militaire qui dit «avoir cassé du terroriste». Mohamed Benchicou continue à faire un tabac avec ses ventes-dédicaces, il mène son combat contre vents et marées, tandis que l’autre... Mais qui est l’autre ? Je ne le connais plus. Mohamed Moulesshoul est directeur du Centre culturel algérien à Paris. La page est tournée, définitivement tournée. Je comprends mieux que des compatriotes de bonne foi suspectent souvent des hommes et femmes publics dont la voix est discordante de courir derrière le «koursi». Et pourtant ! Des Algériens (ennes) qui ne vendent pas leur âme, cela existe fort heureusement quand bien même le prix à payer est fort coûteux. C’est le prix de la liberté, celle qui consiste chaque jour à se dire que l’on n’a nullement besoin de gouvernants pour exister et pour vivre.

Leila Aslaoui

Nombre de messages : 3489 Date d'inscription : 03/12/2006

Mais ce morceau est quand même le meilleur !!! Une réponse digne de lalla 3ayni. Les soir d'Algérie va se spécialiser dans les echanges epistolaires entre militaires à la retraite Twisted Evil

N. B. Dans une interview accordée au journal français
Le Financier, le directeur du Centre culturel algérien,
M. Mohamed Moulesshoul, a qualifié mes propos (chronique
17 octobre 2007) le concernant de «méchants» «fielleux» et
«insultants».
«Je suis stupéfait par la méchanceté de son texte insultant
moi qui ai coupé court avec mes éditeurs espagnols qui ont
refusé de traduire ses oeuvres (les miennes) que moi-même je
leur avais proposées», (Mohamed Moulesshoul).
Ainsi en sus d’être insultante, méchante, je suis également
une parfaite ingrate à l’égard de mon bienfaiteur : Mohamed
Moulesshoul, alias Yasmina Khadra. La réalité est tout à fait
autre.
Lors d’un échange téléphonique amical à l’époque en 2001,
il me proposa de faire traduire Les années rouges(2000) (et non
mes oeuvres) par son éditrice espagnole. Je lui répondis «pourquoi
pas ?» et lui demandai de prendre attache préalablement
avec les Editions Casbah (mon éditeur en ce temps-là) je n’eus
plus aucune nouvelle jusqu’au moment où il vint (Moulesshoul)
à Alger dédicacer son ouvrage L’imposture des mots, en 2002 et
qu’il m’expliqua que le seul discours qui plaisait en Europe était
celui du «qui-tue-qui ?» et qu’il avait décidé pour ce motif-là et
non pour Les années rougesde rompre avec sa maison d’édition
espagnole. Un argument qui me paraît jusqu’à ce jour fondé
puisque Moulesshoul, alias Yasmina Khadra, n’a jamais caché
ses antipathies à l’égard des islamistes et du camp «qui-tuequi
?» C’est celle-là la vérité, Les années rouges, a été un
ouvrage largement lu par mes compatriotes. Cela me satisfait et
me suffit. Qu’il n’ait pas été traduit m’indiffère totalement. Mais
j’étais à mille lieues de penser que M. Moulesshoul se servirait
de ce petit fait anecdotique pour tenter de convaincre l’opinion
que j’avais été «oublieuse» de ses bienfaits imaginaires.
Concernant le propos lui-même, M. Moulesshoul Mohamed
devrait savoir, lui qui manie avec aisance la langue de Voltaire,
que l’insulte est une offense faite à autrui en paroles ou en
actes. Il se trouve que je n’insulte pas et n’ai pas besoin de l’injure
pour m’exprimer pour trois raisons :
1) Mon éducation me l’interdit, car dans ma famille,
ma mère a toujours veillé à ce que vulgarité et injures soient
bannies de notre comportement (nous ses enfants) comme de
notre langage.
2) Ma profession d’ancien magistrat m’a fort heureusement
appris à faire la distinction entre des propos non complaisants
et des propos insultants. C’est ma force et ma chance : cette
profession m’a également enseigné que modération ne signifie
pas sensiblerie et caresses dans le sens du poil. Un homme,
une femme publics se doivent d’assumer leur statut et d’accepter
les critiques qui ne sont pas des injures. Et pour qui a
du caractère, la carapace s’épaissit au fil des ans jusqu’à devenir
totalement imperméable et indifférente.
3) Enfin, j’ai le bonheur de collaborer au Soir d’Algérie (sans
être journaliste comme dit par Le Financier), les directeurs de
rédaction et de publication de ce quotidien ne cherchent aucunement
à vendre celui-ci «grâce» à l’insulte. C’est plutôt en raison
de leur ligne éditoriale inchangée que Le Soir d’Algérie
trouve de plus en plus de lecteurs. Et c’est pour cela que je
trouve plaisir à écrire dans ce journal.
L’insulte vient plutôt de M. Moulesshoul, lequel a déclaré au
Financier «Qui est-elle (moi) pour me juger ?»
Qui suis-je ? Je l’ignorais jusqu’au jour où Mohamed
Moulesshoul, alias Yasmina Khadra, m’a écrit en guise de dédicace
pour son ouvrage L’imposture de mots : «A Mme Leïla
Aslaoui, grande dame de l’Algérie, et muse de ma vaillance
avec ma plus profonde gratitude» (07/04/02).
Idem avec Les hirondelles de Kaboul : «Leïla Aslaoui une
grande dame» (25/09/02). Qui suis-je ? Je l’ignore mais
Mohamed Moulesshoul, alias Yasmina Khadra, a déclaré «que
je ne méritais pas de le regarder» Le Financier. Je ne vous
regarderai plus jamais Monsieur Moulesshoul, préférant vous
laisser seul, face à votre miroir de star. Préférant avec un S. Je
note seulement que celui qui avait écrit dans El Pais, c’est-àdire
vous : «Nos gouvernants doivent comprendre que leur
place est au musée de la bêtise humaine ou bien à la fourrière»
(1er juin 2007) a dû faire rire aux éclats lesdits gouvernants, en
acceptant le poste qui est le vôtre aujourd’hui. Est-ce un crime
de lèse-majesté de vous rappeler vos écrits virulents ou désirez-
vous ne plus vous en souvenir ?
L. A.

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Dim Nov 25, 2007 2:08 pm

ya yemma

je dirais ki sidi ki lalla ,ils se vallent et c'est vraiment digne du soir d'algerie il ne manque que notre blonda nationale pour ajouter quelques m3ayer mina enou3 erafi3e, franchement c'est quoi ce niveau et pourquoi faire autant de bruit pour un certain yasmina ,pourquoi autant d'ingniation , comme si c'etait une lumiere qui s'eteint , a mes yeux une lumiere qui n'a jamais existé je dirais de yasmina khadra pfffffffffffffffffffffff il n'a jamais valu le détour ,ni dans ses livres ni dans ses interviews ,too much noise for nothing.alors ce genre d'echange ne m'etone pas c'est meme amusant , alors si y'en a d'autres abdellah ,envois

Nombre de messages : 2299 Date d'inscription : 14/11/2006

Abdallah a écrit:: oui normalement on a un admin; c'est yacine,mais par les temps quicourent il prefere allez faire le beau sur d'autres forums : Eh oui

http://accrotv.fororama.com/index.htm

Excusez-moi de tomber comme un theveu dans la thoupe Embarassed

mais j'ai été voir, et je peux dire que ça c'est du forum pirat

et je comprends tout maintenant.....iiiiiiiiih 3la zman elephant

Au fait Abdallah, change d'avatar, il n'est pas sorti sur toi tongue

et moi tout ce que je retiens de ces courriers et de ces paroles échangées c'est ça
«La confiance placée en lui» est plutôt à mettre dans le registre langue de bois.
Moi en tout cas ça me rappele une mousse au chocolat, pas vous?

Nombre de messages : 3489 Date d'inscription : 03/12/2006

Oumelkheir a écrit:: Moi en tout cas ça me rappele une mousse au chocolat, pas vous?

Achou ??????

Nombre de messages : 2299 Date d'inscription : 14/11/2006

Rouht en'hawess 3liha 3la sa3di Sad

la voici

Au fait merci d'avoir pris mon avis en considération Wink

c'est mieux comme ça je t'assuuuuure Smile

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Mar Nov 27, 2007 4:39 pm

http://www.lematindz.net/news/365.html

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Mer Déc 26, 2007 2:17 am

Le fâcheux « trou de mémoire » de Yasmina Khadra

Dans le matin d´algérie, version éléctronique du 23 Décembre, 2007

Je viens de lire le long, très long entretien de Yasmina Khadra au
Quotidien d’Oran. Et je vous le dis tout de suite : il n’est pas
question, ici, de dénigrer un écrivain algérien qui dit publier en 32
langues et qui, pour ne rien arranger, se dit un « ami » de mon
directeur. Je laisse à Mohamed Benchicou le soin d’en dire plus, quand
il le jugera opportun. Non, ce qui m’a frappé dans ce long, très long
entretien, c’est cet éloge incongru du président Bouteflika à propos de
l’audience qu’il eut l’amabilité d’accorder à Yasmina Khadra un mois
après la publication de la pourtant virulente tribune de ce dernier
dans El Pais : « Il m'a accueilli avec humilité. Il m'a montré à quel
point il avait du respect pour moi, pour mes convictions. Le Président
m'a donné une véritable leçon de démocratie. Dans la tradition de la
souveraineté nationale, quand un écrivain dépasse les bornes, on le
faisait taire d'une manière ou d'une autre. »

Alors là, je me suis demandé : parle-t-on du même Président ? Le compliment
était déjà gênant, s’appliquant à un président dont Yasmina Khadra
décrivait, un mois plus tôt, un « système en total décalage avec la
mondialisation » et dont il dénonçait « les dépassements, les
injustices et les humiliations quotidiennes. » Il devient complètement
compromettant quand il l’absout de ses propres exactions. Parce
qu’enfin, M. Khadra, sans parler des 9 journalistes emprisonnés sous le
règne de ce « Président qui a donné une véritable leçon de démocratie
», il y au moins un écrivain qui a « dépassé les bornes » et qu’on a «
fait taire d'une manière ou d'une autre », c’est votre « ami » Mohamed
Benchicou ! Deux ans de prison pour avoir « dépassé les bornes » sous
la forme d’un livre : « Bouteflika une imposture algérienne » ! C’est
plutôt une belle « manière » de faire taire un écrivain, vous ne
trouvez pas ? Ou plutôt si, c’est ce que vous pensiez avant d’être au
CCA. Je relis ce que vous avez écrit le 17 juin 2004, trois jours après
l’emprisonnement de Mohamed Benchicou : « « N’aurait-il pas été juste,
après avoir pardonné aux ennemis de la nation, d’en faire autant avec
les adversaires des gouvernants ? Je n’ai pas applaudi Benchicou à la
sortie de son brûlot contre le président. Cependant, peut-on reprocher
à quelqu’un de clamer ce qu’il pense, en son âme et conscience, être la
vérité ? Et puis, c’est quoi la vérité ? Depuis que le monde est monde,
il n’y a jamais eu de vérité vraie, mais seulement des choses
auxquelles on croit et d’autres auxquelles on ne croit pas. Raison pour
laquelle j’ai du mal à admettre, qu’après tant d’infortunes et de
prières gâchées, la rancœur continue de supplanter la plus inespérée
des présences d’esprit.-Benchicou est en prison. Est-ce bien sa place ?»

Je me dispense de tirer une quelconque
conclusion à propos de votre trou de mémoire mais je ne peux m’empêcher
de m’extasier devant la merveilleuse imagination du romancier qui fait
d’un président capable de « rancœur » en 2004 un gentil professeur de
démocratie en 2007 !

Ce nouveau personnage de votre nouveau roman n’est pas le plus génial que vous
ayez créé. Aussi, je pense que je ne vous lirai plus. Une plume qui
abandonne sa spontanéité est bonne pour le marché aux puces.

Je vous préférerai désormais celui qui a osé écrire, l’été dernier, cette
formule endiablée : « Nos gouvernants ne pensent qu’à leurs fonds de
commerce, leurs petites magouilles et leur trafic d’influence : ils
doivent comprendre que leur place est au musée de la Bêtise humaine ou
bien à la fourrière. »

Il s’appelait Yasmina Khadra

Zaouèche

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Sam Fév 16, 2008 12:00 pm

Monsieur Yasmina KHADRA actuel directeur de centre culturel algerien de PARIS a été decoré de la medaille d'officier des arts et des lettres jeudi passé pour l'ensemble de son oeuvre !

Frédéric Mitterand, personnalité du monde de la culture française qui a remis à l’écrivain algérien cette distinction, a salué l’auteur dont «le talent est reconnu unanimement par la critique mondiale et les oeuvres traduites dans 32 pays». Devant les invités à cette cérémonie, Mohamed Moulessehoul a fait part de son «émotion» après cette distinction, estimant que celle-ci est «une reconnaissance de la qualité de son oeuvre» et va le «réhabiliter dans le circuit littéraire et vis-à-vis de tous ceux qui ont semé le doute à son égard».

Il etait déja officier de l'ANP y'a quelques temps non ??

Nombre de messages : 1190 Date d'inscription : 13/03/2007

bsa7tou

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Sam Juil 05, 2008 1:43 pm

"Ce que le jour dit à la nuit", nouveau roman de Yasmina Khadra

Le romancier Yasmina khadra sortira cet été son nouveau livre chez Julliard : " Ce que le jour dit à la nuit". L'écrivain nous offre un grand roman sur l’Algérie coloniale.
Comme à son habitude l’auteur décrit dans une langue d’une précision
époustouflante l’âme profonde de ses personnages plongés dans la misère, l’humiliation et la détresse. " Ce que le jour dit à la nuit" nous raconte à travers 400 pages la vie de Younes qui n’a que neuf ans. Son père, paysan ruiné par un spéculateur autochtone, perd ses terres ancestrales. Accablé, l’homme doit se
résoudre à confier son enfant à son frère, un pharmacien parfaitement intégré à la communauté pied-noir d’une petite ville de l’Oranais. Le sacrifice est immense. En abandonnant son fils, l’homme perd du même coup le respect de lui-même. Mais les yeux bleus de Younes et son physique d’ange l’aident à se faire accepter par cette communauté aisée de province. Rebaptisé Jonas, il grandit parmi de jeunes colons dont il devient l’inséparable camarade. Il découvre avec eux les joies de l’existence et partage leurs rêves d’adolescents privilégiés que ni la Seconde Guerre Mondiale ni les convulsions d’un nationalisme arabe en pleine expansion ne perturbent. Jusqu’au jour où revient au village Émilie, une jeune fille splendide qui va devenir la
vestale de nos jeunes gens. Naîtra ainsi une grande histoire d’amour qui mettra à rude épreuve la complicité fraternelle des quatre garçons, écartelés entre la loyauté, l’égoïsme et la rancune que la guerre d’Indépendance va aggraver. La révolte algérienne sera, pour Younes-Jonas, sanglante et fratricide. Il refusera de laisser détruire l’amitié exceptionnelle qui l’unit à ces jeunes pieds-noirs ; il ne
pourra tourner le dos à cet oncle et à cette tante qui lui ont offert une vie meilleure ; mais jamais il n’acceptera non plus de renoncer aux valeurs inculquées par son père : la fierté, la déférence envers sesancêtres et les coutumes de son peuple, le respect absolu de la parole donnée, et, ce, quitte à mettre en péril l’amour déchirant qu’il a pourÉmilie. Avec la verve romanesque qu’on lui connaît, Yasmina Khadra éclaire d’un nouveau jour ce conflit ayantopposé deux peuples amoureux d’un même pays. La grande originalité decette saga qui se déroule de 1930 à nos jours repose sur une courageusedéfense de cette double culture franco-algérienne que l’Histoire a, depart et d’autre, trop souvent cherché à renier.

Biographie
Salué dans le monde entier comme un écrivain majeur, notamment par le
prix Nobel J.M. Coetzee, honoré dans plusieurs pays (Les hirondelles de
Kaboul a été consacré Meilleur roman de l’année aux États-Unis),
Yasmina Khadra est l’auteur, entre autres, de À quoi rêvent les loups,
Les Agneaux du Seigneur, Cousine K (prix de la Société des gens de
lettres), L’Écrivain (Médaille de vermeil de l’Académie française), La
Part du mort (prix du Meilleur polar francophone), Les Hirondelles de
Kaboul (Newsweek Award ; Prix des libraires algériens), L’Attentat
(Prix des libraires 2006, Prix de la critique, en Autriche) et Les
Sirènes de Bagdad. Son œuvre est traduite dans trente-quatre pays.
L’Attentat est en cours d’adaptation à Hollywood, et Les Hirondelles de
Kaboul sera porté à l’écran par le cinéma français.

Source : Dubaifrance.com
reprise par le matin d´algérie

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Sam Juil 05, 2008 1:51 pm

widedangel a écrit:: ...courageusedéfense de cette double culture franco-algérienne que l’Histoire a, depart et d’autre, trop souvent cherché à renier

Je prépare les cacahouètes, je sens que ça va être épique lol!

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Sam Juil 05, 2008 2:07 pm

je préfére le roman de patricia cornwell sur jack l´écentreur fermacha

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Sam Juil 05, 2008 5:09 pm

Kwitzach a écrit:

widedangel a écrit:: ...courageusedéfense de cette double culture franco-algérienne que l’Histoire a, depart et d’autre, trop souvent cherché à renier

Je prépare les cacahouètes, je sens que ça va être épique lol!

chouia moukassirates pour les mousselsseletes ça ta dit lkwikwi?

je ne sais pas pourquoi mais j'ai jamais aimé les "chefs d'oeuvres " de ce "smina elkhadra " .....hihihih je vais me faire encore dézami!!!!

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Sam Juil 05, 2008 5:12 pm

Avec plaisir Khaltou Smile

Sinon je suis déçu : Personne pour s'indigner de cette insulte a notre personnalité nationale "Culture Franco-Algérienne" Non mais ! Crying or Very sad

Nombre de messages : 264 Date d'inscription : 12/05/2008

Un écrivain à la solde du sionisme après son opus l'attentat. Il est impossible pour moi de croire qu'un écrivain qui naquit sur un sol colonisé auparavant puisse écrire un tel polar et par lequel il présente la victime comme étant la coupable. Il voudrait acheminer l'exemple aux israéliens que nul palestinien n'est digne être de confiance ou quoi? Même un tel scénario ne s'est jamais passé en réalité. Alors comment explique-t-il sa position envers ce peuple palestinien innocent, chassé et persécuté dan son propre sol.
A moins pour faire l'éloge pour Israël et ses sympathisants qui distribuent ces prix en mesure de l'appui ce cet état. Je citerais, par exemple l'occtroi du prix nobel au dramaturge égyptien Najib Mahfouz. Et quid de l'ecrivain russe qui a écrit l'archipel du goulag qu'on nous disait que c'était un grand écrivain, et que depuis personne n'en parle.

Nombre de messages : 3489 Date d'inscription : 03/12/2006

djamal a écrit:: Un écrivain à la solde du sionisme après son opus l'attentat..

Le sujet "perles du forum" ce n'est pas ici, c'est plus bas.

Yasmina Khadra est peut-être un écrivain moyen, mais de là a dire qu'il est à la solde des sionistes
affraid

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Mer Juil 09, 2008 8:34 pm

djamal a écrit:: Et quid de l'ecrivain russe qui a écrit l'archipel du goulag qu'on nous disait que c'était un grand écrivain, et que depuis personne n'en parle.

WHAT ??? Tu t'emballe un peut trop la... Suspect

On en parle plus sur El Moudjahid ou El jazeera (Et Pif Gadget aussi Laughing

) mais crois moi cet auteur (Alexandre Soljenitsyne) est toujours lu, étudié et respecté partout dans le monde... et il le restera aussi longtemps que des gens liront des livres.

Nombre de messages : 264 Date d'inscription : 12/05/2008

Il a été nommé à la tête du CCA pour le récupérer et le mettre de son côté à l'instar de Melle Khalida Toumi, depuis ministre de la culture et la faire rompre avec le rassemblement pour la culture aka (RCD).

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Lun Aoû 18, 2008 2:21 am

ياسمينة خضرة لدى تكريمه من قبل المجلس الشعبي الولائي بوهران
''النظام يتوجه صوبا نحو الجدار ولا أحد يتحرك''
http://www.elkhabar.com/quotidien/?ida=119782&idc=30&date_insert=20080817

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Mer Oct 15, 2008 1:08 am

l'auteur de L'imposture des mots s'adressant au journal canadien La Presse : «Je suis l'un des écrivains les plus célèbres au monde. Je suis plus connu que l'Algérie ! Je suis allé en Italie en visite officielle avec le président algérien : je suis passé à la télé, pas lui !»
S'agissant de son dernier opus paru chez Julliard, Yasmina Khadra dira simplement : «Ce que j'ai voulu mettre en scène, c'est une Algérie que les autres auteurs n'ont pas vue, à cause de leurs rancœurs ou de leur chauvinisme.»
lol!

extrait de l'article :
http://letemps-dz.info//index.php?option=com_content&task=view&id=3269&Itemid=32
Mais encore :
http://my.algeria.com/forums/literature-film-litterature-cinema/11852-yasmina-khadra-mohamed-moulessehoul-7.html

Nombre de messages : 1064 Localisation : Blida Date d'inscription : 06/12/2006

et bein, c'est pas la modéstie qui le tue drunken

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Mer Oct 15, 2008 10:07 am

ça se voit pourquoi on l'a désigné à la tête du CCA, un mégalo comme lui c'est rare affraid

Nombre de messages : 3489 Date d'inscription : 03/12/2006

Je pense qu'il relève de la psychiatrie. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé dans sa tête. J'ai eu l'occasion de le connaître juste après qu'il est révélé son identité. C'était un gars très simple, très disponible, réservé, qui écoutait avec beaucoup d'intérêt les autres.

La suite on la connaît : Je l'ai revu quelques temps plus tard, et Yamina Khadra n'avait plus qu'un seul sujet de discussion : Yasmina Khadra.

J'ai osé lui en faire part, en lui disant que ça devenait un peu ridicule, qu'il devenait une insupportable diva. Il s'en amuse, il se venge peut-être contre je ne sait qui, contre l'ANP qui ne l'a pas fait Colonel, contre toutes les adolescentes qui ne voulaient pas de lui à l'époque.

Mais on ne va pas se plaindre, ses sorties deviennent de véritables moment cultes. Délicieux Twisted Evil

Sujet: Re: yasmina khadra à la tête du CCA à paris Mer Oct 15, 2008 10:46 am

Exact ! Nous avons enfin notre van damme a nous il ne faut bouder notre plaisir Twisted Evil

» Vidéo : débat avec Yasmina Khadra
» Prise de tête en chaîne !
» tout ce qui vous passe par la tete!!
» boutef à paris le 13/7/08
» Massacres du 17 Octobre 1961 à Paris