Extension du domaine de l'ignoble

forzi a écrit:

widedangel a écrit:

Une jeune fille de 17 ans violée par dix personnes à Beni Messous (Alger)

Une info parmi les premières que j'ai lu ce matin sur les journaux online, j'avais (j'ai toujours) envie de vomir, pardon je ne trouve pas autre chose à dire

No comment c'est terrible daurénavant je penserai 2 fois avant de sortir de chez moi toute seule

Des sauvages qui ne méritent pas leur humanité :/

Salut à tous,
et n'allez pas me dire que ce genre de phénoméne existait dans un temps jadis avec des faits aussi violents, je pense que ces pratiques affreuses de viols collectifs ont commencé pendant la periode du terrorisme, et le phénoméne continu.
je pene tout de méme que les parents ont aussi une part de responsabilité et ils doivent étre vigilmant.
pour revenir au agressions d'enfants, maintenant, méme les femmes s'y mettentcomme j'ai pu le voir dans le dernier article présenté par Widedangel

ismouche a écrit:

Salut à tous,
et n'allez pas me dire que ce genre de phénoméne existait dans un temps jadis avec des faits aussi violents, je pense que ces pratiques affreuses de viols collectifs ont commencé pendant la periode du terrorisme, et le phénoméne continu.
je pene tout de méme que les parents ont aussi une part de responsabilité et ils doivent étre vigilmant.
pour revenir au agressions d'enfants, maintenant, méme les femmes s'y mettentcomme j'ai pu le voir dans le dernier article présenté par Widedangel

c´est d´autant plus inquietant, car d´habitude on ne pense pas qu´une femme peut etre impliquer dans le kidnaping d´un enfant ... c´est vraiment ignoble

Allez savoir ce que la drogue suggère de faire

Actualités : LA GENDARMERIE RÉUSSIT A DÉMANTELER LE RÉSEAU EN QUELQUES JOURS
Une fille fugueuse violée par dix jeunes

B. K., une jeune adolescente de 17 ans, native de Larbâa, n’est pas près d’oublier le cauchemar vécu il y a quelques jours au niveau de la localité de Beni-Messous.
Abder Bettache - Alger (Le Soir) - Acte un : son «voyage» sur Alger, «pour rendre visite à mon oncle» a pris une autre destination en l’espace d’une rencontre avec M. S. dans le bus qui les transportait de Bouzaréah vers Beni- Messous. Ce dernier «travaille » la jeune adolescente et réussit à la «détourner» vers un endroit peu habité. Le «couple» atterrit dans une maison de fortune construite sur un lit d’oued situé au niveau de ladite localité. Acte deux : M. S., un repris de justice voulant coûte que coûte réussir son coup promet monts et merveilles à B. K. Le mariage en point de mire. La jeune adolescente, sous «pression familiale» et à la recherche d’un environnement social meilleur, croule sous les promesses de son «demandeur». Elle accepte de passer la nuit avec lui. Acte trois : coup de théâtre, le jeune garçon sous l’effet de la drogue et de l’alcool fait appel à ses amis. Ces derniers, au nombre de neuf et habitant dans les alentours, atterrissent chez lui. Le cauchemar commence pour B. K. Les dix garçons dont l’âge varie entre 20 et 23 ans passent à l’acte. Début de l’horreur. Les dix garçons abusent tour à tour de la jeune adolescente. Le cauchemar dure toute la nuit et la partie de «plaisir» ne prend fin que tard dans la nuit. Le scandale a été mis à nu par les éléments de la brigade de gendarmerie de Beni-Messous. Selon le chef de la compagnie de Bouzaréah, le commandant Berrahal, «l’enquête a été diligentée suite à un dépôt de plainte effectuée par le père de la victime pour viol contre sa fille âgée de 17 ans». Les investigations menées par les éléments de la brigade de gendarmerie de Beni-Messous remontent à l’origine de l’affaire. «Le témoignage de la victime a énormément aidé nos enquêteurs pour débusquer les violeurs. Dans un premier temps, nous avons mis hors état de nuire six personnes qui ont reconnu leur forfait. Ces derniers citent les noms des quatre autres personnes qui, à leur tour, ont reconnu également leur forfait. En l’espace de quelques jours, tous les éléments du groupe ont été arrêtés», explique M. Berrahal. L’assistante-psychologue de la Gendarmerie nationale qui a aussitôt prit attache avec la victime dira que cette dernière est «très agitée socialement». Selon Boukaoula Zohra, «B. K. en prenant la direction d’Alger était en situation de fugue. Une troisième du genre en moins de dix années». Selon notre interlocutrice, la première fugue de B. K. remonte à l’âge de huit ans. «C’est sa situation familiale qui était à l’origine du malheur de la jeune adolescente. Agressée verbalement et parfois physiquement, B. K. vivait une situation délicate au sein de sa famille qui réside près de la localité de Larbaâ. Le refus de ses parents de la laisser poursuivre ses études a provoqué chez l’adolescente une frustration vite transformée en confrontation», explique la psychologue. Résultat : la jeune adolescente décide de quitter la maison de ses parents pour tomber quelques kilomètres plus loin entre les mains de dix bourreaux.
A. B.
youcefabder@hotmail.com

source le soir d´algerie 26-02-2008

C'est très triste, de nos jours ça ne sert à rien de surveiller sa fille ou son fils et exiger de rester chez soi, la réponse est immédiate car dés qu'ils mettent un seul dans la rue ils trouvent la réponse; Confrontation
seul solution: éducation et communication au sein de la famille
allah yestor

il n y a hélas aucune recette miracle pour éviter ce genre de drame et les pauvre parents alors ! je n'ose pas imaginer non........c'est.........c'est horrible

effectivement qu'il n y a pas
mais si on donne une bonne éducation, je ne crois pas les bonnes bases seront perdus avec l'age et ce malgré les dérapages et obstacles qui pourront faire face à la vie de l'individu, mais à la fin je crois que ça donne des fruits

C'est drôle comme ce sujet est médiatisé plus que d'habitude !
là je me pose des questions vraiment!!!! ces horreurs ont de tout temps existé tout le monde le sait ! ce qui se raconte de bouche à oreille est inimaginable ! dans une société pleine de contradictions comme la notre ! les violeurs , les pédophiles , les incestes ont toujours provoqué la psychose mais quand on lit ça "sur le journal " ça terrorise encore plus ! il faut en parler certes mais en faisant un travail de professionnels : c'est à dire en consultant les spécialistes qu'il faut entre autres : des psychologues , des sociologues , des hommes de lois afin que nous comprenions davantage "la chose "

Les fleuves détournés
Le printemps est revenu et avec lui la nouvelle sève, les bourgeons 2008 et les problèmes qui en découlent. Il ne se passe pas un jour sans qu’une scabreuse affaire de mœurs ne vienne attrister un pays déjà très triste. S’il ne s’agit pas de comprendre ces criminels d’un autre type ou de leur offrir des circonstances atténuantes, il est évident que pour contenir la pédophilie, les affaires de viol, d’inceste et de tous les dérapages sexuels qui deviennent aujourd’hui non plus des bavures mais une tendance lourde, il faut libérer les pulsions et leur permettre de s’exprimer dans un cadre plus serein. Le principe est simple, en voulant tout fermer on ne fait qu’accentuer la pression, qui de toute façons va prendre d’autres chemins pour s’exprimer, des voies plus violentes, à l’image du terrorisme. A une certaine époque, dans cette même Algérie, les maisons de tolérance étaient gérées par des institutions de l’Etat, contrôlées par des médecins et tout le monde y trouvait son compte. Si aujourd’hui la prostitution est interdite et par l’Etat et par la société, elle se rabat sur d’autres endroits, vise d’autres espèces de clients et avec à la clé des prix trop chers. L’inflation touche aussi le sexe, devenu très cher de par sa rareté et les taxes morales qui font augmenter son coût. Que faire ? Ouvrir les maisons de tolérance, tout comme il faut ouvrir les médias, les champs politiques et les circuits d’expression. Car comme l’eau (même dessalée), comme le pain (même subventionné), tous les peuples du monde ont besoin de sexe et il est ridicule de penser qu’il y en a qui peuvent s’en passer. Cela ne se fera évidemment pas, tout comme l’ouverture du champ audiovisuel, l’hypocrisie étant la norme et le faux ascète le modèle. Subventionner le sexe ? Une mesure sage. Peut-être un référendum ? Oui, mais à vote discret et anonyme, chacun de chez lui.

Chawki Amari du journal Al watan

Salut à tous,
pour repondre à ta question parodie, je pense que ce phénoméne existait avant, mais avec moin de violence, et en entendais ça une fopis par hasard, alors que maintenant, c'est pratiquement tout le jours

ismouche a écrit:

Les fleuves détournés
Le printemps est revenu et avec lui la nouvelle sève, les bourgeons 2008 et les problèmes qui en découlent. Il ne se passe pas un jour sans qu’une scabreuse affaire de mœurs ne vienne attrister un pays déjà très triste. S’il ne s’agit pas de comprendre ces criminels d’un autre type ou de leur offrir des circonstances atténuantes, il est évident que pour contenir la pédophilie, les affaires de viol, d’inceste et de tous les dérapages sexuels qui deviennent aujourd’hui non plus des bavures mais une tendance lourde, il faut libérer les pulsions et leur permettre de s’exprimer dans un cadre plus serein. Le principe est simple, en voulant tout fermer on ne fait qu’accentuer la pression, qui de toute façons va prendre d’autres chemins pour s’exprimer, des voies plus violentes, à l’image du terrorisme. A une certaine époque, dans cette même Algérie, les maisons de tolérance étaient gérées par des institutions de l’Etat, contrôlées par des médecins et tout le monde y trouvait son compte. Si aujourd’hui la prostitution est interdite et par l’Etat et par la société, elle se rabat sur d’autres endroits, vise d’autres espèces de clients et avec à la clé des prix trop chers. L’inflation touche aussi le sexe, devenu très cher de par sa rareté et les taxes morales qui font augmenter son coût. Que faire ? Ouvrir les maisons de tolérance, tout comme il faut ouvrir les médias, les champs politiques et les circuits d’expression. Car comme l’eau (même dessalée), comme le pain (même subventionné), tous les peuples du monde ont besoin de sexe et il est ridicule de penser qu’il y en a qui peuvent s’en passer. Cela ne se fera évidemment pas, tout comme l’ouverture du champ audiovisuel, l’hypocrisie étant la norme et le faux ascète le modèle. Subventionner le sexe ? Une mesure sage. Peut-être un référendum ? Oui, mais à vote discret et anonyme, chacun de chez lui.

Chawki Amari du journal Al watan

Il a tout dit...

je cite
" A une certaine époque, dans cette même Algérie, les maisons de tolérance étaient gérées par des institutions de l’Etat, contrôlées par des médecins et tout le monde y trouvait son compte"Chawki Amari du journal Al watan

Serait ce LA SEULE SOLUTION ? réouvrir des maisons closes ? (et ce n’est nullement du puritanisme ! mais juste des interrogations) pour régler tous les problèmes libidinaux d’une société hypocrite gavée de frustrations ?
Un pédophile n’est nullement attiré par ces femmes qui y travaillent à moins qu’elles s’habillent comme les petits enfants, quelle horreur !!!!
Un violeur réglerait- il son problème dans une maison close ? Demandez à un psy et il vous dira que ce premier tire son plaisir de la résistance et de la souffrance de sa victime ! quelle horreur !!
Les participants aux tournantes régleront ils leur problème dans une maison close ? Non à moins que cela soit une …… tiiiit ! (auto censure )et quelle horreur !!!
Les « mst » seront-elles réglées dans une maison close ? les médecins consultants de ces maisons feront ils correctement leur travail ?
Le problème est bien plus sérieux ! nos spécialistes doivent le prendre en main immédiatement ……et dire le nombre de psy , de sociologues qui chôment…..

toute cette violence ne date pas d'aujourdhui,mais la liberté de ton l'a étalée sur la scéne publique

Tentative de kidnapping d’une fillette à El Khroub

Une fillette de sept ans a failli être kidnappée, mercredi dernier, à la cité CNEP, à proximité de la cité des 900 logements, dans la ville d’El Khroub. Selon des témoins proches de la famille de l’enfant, cette dernière est scolarisée à l’école située en face de l’immeuble où habitent ses grands-parents, et chez lesquels, elle se rend habituellement.

Ce jour-là, vers 8h du matin, nous racontent ces mêmes témoins, la fillette, qui allait regagner l’école comme à l’accoutumée, sera interceptée, à quelque mètres de l’immeuble, par un individu qui lui demandera de monter avec lui dans la voiture. Effrayée, l’enfant poussera des cris, ce qui alertera sa tante, qui la surveillait du balcon. celle-ci descendra alors et ira au secours de sa nièce. L’auteur de cet acte, un jeune homme, dit-on, sans pour autant donner plus de détail sur sa description physique, prendra aussitôt la fuite avant que les riverains arrivent en foule après avoir été alarmés par les cris perçants de l’enfant. Si cette écolière s’est défendue, d’une manière ou d’une autre, se rappelant les instructions de sa famille, celles de ne jamais parler aux étrangers et de crier en cas de danger, qu’en est-il pour les autres enfants, sans défense et également menacés ? En tout état de cause, la ville d’El Khroub est devenue, depuis quelques années, un véritable fief des délinquants, dont la majorité a été graciée par le président de la République. Vols, agressions, trafic de drogue, prostitution, voilà ce qui meuble le quotidien des habitants, et auquel vient s’ajouter ce nouveau phénomène… le kidnapping des enfants.

Selma B.

El Watan - edition du 01-03-2008

Je ne suis ni pour la torture, ni pour la peine de mort. Il faut rester digne face à l'indignité.

PAR CONTRE, un criminel, quel qu'il soit, doit être puni en fonction de son crime. La rahma, c'est rabbi qui l'appliquera comme bon lui semblera. Il connaît mieux que nous les circonstances atténuantes ou aggravante de chaque individu. Nous, on sait qu'untel a commis un acte criminel, et nous avons le DEVOIR d'appliquer la justice. C'est un devoir envers Dieu, envers nous-même, et surtout envers la société que ce criminel agresse.

Alors, libérer les criminels, non seulement c'est un crime en soi, mais surtout, c'est un crime qui perdure, parceque ces gens-là peuvent continuer de perpétrer leurs méfaits, mais les gens qui voient ça se croient autorisés à commettre d'autres crimes. Soit par sentiment d'injustice, soit parce que "je vois pas pourquoi j'en ferais pas autant".

Voilà comment on construit une société criminelle. C'est pas étonnant qu'on lise de plus en plus souvent que des enfants sont violés, que des femmes sont tuées, etc... Nous avons laissé instaurer l'impunité, et c'est en train de nous revenir dans la figure, et plus fort dans celle des plus vulnérables d'entre nous.

Echeh fina.

Malheureusement, ceux qui nous ont menés dans ce bourbier, eux, sont à l'abri.

RyMantys a écrit:

Malheureusement, ceux qui nous ont menés dans ce bourbier, eux, sont à l'abri.

zaama c'est à cause de la loi sur la concorde civile qu'il y a meurtres et viol d'enfants ...., je ne le pense pas
d'un autre coté, si la loi permet la liberté à des assassins pour instaurer la paix, alors on peut dire que la loi est du coté dee meurtriers, car quelqu'un qui a commis un viol pourra toujour dire, je n'ai fait qu'une betise....lachez moi....vous avez libéré des assassins alors liberez moi.

quand tu dis echah fina, je pense que ça doit s'adresser à tous les parents inconcients qui laissent leurs enfants herer dans les rues

je ne croix pas qu'elle a dit ça concernant la loi de la réconciliation mais surtout par rapport au différente grâces de ça majesté Bouteflika en plus une femme qui n'accompagne pas son enfant a l'école ça ne veut pas dire qu'elle est négligente.

"le quotidien d'oran , le 03/03/2008
Les semis de la haine

par Farouk Zahi
Les faits communément appelés divers semblent s'installer dans la durée et prendre des proportions de plus en plus alarmantes.

(...)Le petit Hichem, âgé de cinq ans, est dans une classe du préscolaire, rien ne présageait qu'il ferait l'objet de « falaka » et de persécution de la part de sa maîtresse. Cette honorable enseignante, pourtant aguerrie pour être à la veille de son départ à la retraite, fait des pauses de relaxation sur le canapé destiné au repos des chérubins, en confiant la classe à sa fille âgée d'une douzaine d'années. La garde se fait sous la menace d'une baguette. Le petit Hichem est corrigé sur les mains par la fille, ensuite c'est carrément l'enseignante qui lui demande de se déchausser. Ne réussissant pas à dénouer les lacets, les chaussures sont « arrachées » par l'éducatrice. La correction est pratiquée sur la plante des pieds comme au bon vieux temps des talebs coraniques, c'est douloureux et ça ne laisse pas de traces. Imaginons la détresse de l'enfant, pris à partie par deux personnes, humilié devant ses camarades et renvoyé à sa place ses chaussures à la main. L'ignominie ne s'arrêtera pas là, la maman outrée qui se présentait plus tard chez la tortionnaire, se fit éconduire sans ménagement avec la bénédiction du chef d'établissement, qui n'aurait aucune disposition à discuter avec « une femme ». Il réclame la présence du père, pas moins ! Se ravisant plus tard, il transfert l'enfant dans une autre classe pour clore l'affaire. Malheureusement, le petit Hichem n'était pas au bout de ses peines pour autant, poursuivi par son ancienne maîtresse jusqu'à sa nouvelle classe à plusieurs reprises, il est traité de menteur devant ses nouveaux camarades qui reprennent en choeur : « Menteur... menteur... ». Traumatisé psychologiquement à jamais, le petit Hichem n'aime plus son école(...)

ah, je croyait qu'on avait gracé que les terroristes!!!!!!!, mais je pense que ça rentre dans le plan de la concorde.

méme si certains enfants ont été tué sur la route de l'ecole, il n'en reste pas moin que certains ont été agressé en bas de chez eux, beaucoup de parents ont été indulgents et laxistes par rapport à leurs enfants, il n'y a que ces derniers temps qu'il y a plus de vigilence à caus précidements des horribles evenements actuels. combien de fois on rencontre des enfants assez tard le soir aller faire les emplettes.

ismouche a écrit:

quand tu dis echah fina, je pense que ça doit s'adresser à tous les parents inconcients qui laissent leurs enfants herer dans les rues

Absolument pas. Ce n'est pas aux enfants d'être enfermés. Ce sont les criminels qui doivent être emprisonnés, et pas les innocents. Les rues doivent être sûres dans un pays qui se respecte. La plupart des enfants enlevés l'ont été à des heures où ils sortaient de l'école, en tout cas à des heures normales pour être dehors. Il faut faire quoi alors? Ne pas les envoyer à l'école? Démissionner pour jouer les gardes du corps? Dans quel monde on vit, pour en arriver à croire que les familles des victimes sont responsables du crime! Pour quoi? Pour n'avoir pas fait le boulot des flics, de l'armée et de la justice? Et eux? Ils sont payés pour quoi? Pour manger du qalbellouz?

Quand je dis cheh fina, je veux dire cheh à ce peuple indigne que nous sommes, qui autorise un pouvoir impuissant et complice à jeter l'éponge, à se défaire des ses RESPONSABILITES, et à permettre à des criminels de faire du mal à nos enfants.

ismouche a écrit:

ah, je croyait qu'on avait gracé que les terroristes!!!!!!!

Ouais, mais c'est tellement pratique chez nous d'être terroriste que des criminels de droits communs se sont fait passer pour des terroristes pour bénéficier de la soi-disant "rahma". C'est un statut privilégié! Quand je pense qu'il y a eu des gens assez bêtes pour essayer de mener une vie décente, au lieu d'aller massacrer les autres.

Si les parents avaient le choix ils ne laisseraient pas leurs enfants en bas de l'immeuble ,un enfant a besoin de jouer , de sauter , de respirer , de chanter ........les appartements sont trop etroits pour cette enfance !
Si les parents avaient le choix ils emmèneraient leurs petits dans des squares , des jardins publics , des théâtres , des salles de cinéma ou on passe des mikiyates , des salles de sport ......si les parents avaient le choix , tous leurs enfants profiteraient de la crèche ou de l'école maternelle au lieu de jouer en bas de l'immeuble , si les enfants avaient le choix ils n'iraient pas dans des écoles coraniques pour subir el falaka , et parfois même assouvir l'instinct bestial de " sdihoum "( sans généraliser ) si les parents avaient le choix ils ne feraient pas castrer leur fils par un médecin sans aucune conscience , si les parents avaient le choix .....
Dans quel état d'ame est ce parent quand son enfant est frustré, battu , violé , assassiné???
Je regrette ce n'est pas la seule responsabilité des parents !