Le président français Nicols Sarkozy a chargé l’avocat Harold Clarsfelds d’effectuer une recherche scientifique autour de la mémoire de la guerre d’Algérie, afin que l’étude soit une référence pour le traitement des demandes algériennes par la France.
La crise de loi du 23 février 2005 glorifiant le colonialisme entre l’Algérie et la France a permis de distinguer deux type de politiciens français une aile de Jacques Chirac connu pour son pragmatisme et son aspiration à établir des relations équilibrées avec l’Algérie et une deuxième aile conduite par l’actuel président Nicolas Sarkozy qui a adopté plusieurs positions de l’extrême droite.
Alors que Chirac tentait de calmer le jeu avec l’Algérie a placé son ami Jean Louis Debré à la tête de la cellule de réflexion sur la guerre. Seulement, Sarkozy a préféré répondre par le placement d’un de ses hommes Harold Clarsfelds avec lequel il partage plusieurs idées pour effectuer ce qu’il a appelé un travail approfondi autour de la loi, l’histoire et le devoir de mémoire, et ce en tentative de consacrer la loi du 23 février 2005, abolie par Jacques Chirac le traduisant au conseil constitutionnel, ainsi que ses positions appuyant la politique israélienne au détriment du peuple palestinien.
Par : Meriem Arezki et Mohammed Meslem