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 festival de l'endalous

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ismouche

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MessageSujet: festival de l'endalous   festival de l'endalous EmptySam Déc 23, 2006 3:31 pm

ces jours ci a lieu le festival internationnal d'endalous(j'espere que je l'ai bien ecrit), je trouve que c'est un festival qui met en avant un aspect de notre culture dont on doit etre fiere.
en tout les cas j'ai entendu dire qu'il y avait la participation de beaucoups de ce qui induis que l'endaloux n'est pas spécifiquement algerien (à mon grand etonnement)
je crois que c'est un style musical espagnaol comme son nom l'indique mais je croyait que c'etait un style musical propre au magreb, mais grace à ce festival j'ai su que non

en tout les cas, c'est une musique rafinée que j'adooooooooore et j'aurais bien aimé en faire, mais je chante comme une chevre
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geant

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MessageSujet: Re: festival de l'endalous   festival de l'endalous EmptySam Déc 23, 2006 6:11 pm

je te repondrai dejà par un article paru dans "la tribune" d'aujourd'hui Question Question Suspect


A sa première édition
Le Festival international de la musique andalouse exclut les «voix» féminines
Certains spectateurs ont exprimé leur étonnement et leur déception de ne pas voir figurer au programme de ce 1er festival les Bheidja Rahal, Zakia Kara Torki, Nassima, cheikh El Ghafour ou Chaouli
Samedi 23 Décembre 2006
Par Farida Belkhiri
Dans l’introduction publiée dans le programme de la première édition du Festival international de la musique andalouse, le commissaire Rachid Guerbas affirme que «le festival propose un véritable parcours initiatique reflétant la genèse de notre noble art ancestral ainsi que ses différents prolongements. Il se veut une dynamique scène de la fraternité internationale du généreux partage». Cette affirmation suppose l’ouverture de fait du festival à tous ceux et toutes celles qui contribuent à l’enrichissement de la musique classique algérienne. Les organisateurs se devaient donc d’inviter tous les interprètes, sans distinction de sexe, d’âge ou de «statut», pouvant enrichir le tableau, à participer à cette édition inaugurale. Or, tel n’est pas le cas. Un coup d’œil au programme de cette édition suffit pour se rendre compte de «l’absence» d’un bon nombre d’interprètes qui activent actuellement sur la scène de la musique andalouse. Et les voix féminines telles que Zakia Kara Torki, Bheidja Rahal et Nassima, principalement, sont les premières à faire les frais de cette sélection sélective. Le commissaire de la manifestation parle de fraternité internationale et de généreux partage. Mais pourquoi cette fraternité et ce généreux partage n’ont-ils pas joué à l’échelle nationale ?
Zakia Kara Torki que nous avons contactée pour avoir ses impressions -et qui en avait gros sur le cœur-, n’arrive pas à s’expliquer cette exclusion ni ceux qui la connaissent et apprécient son travail. «Tout le monde a été étonné que je ne sois pas présente à ce festival. Pourtant, avec mon travail et mon public, fort nombreux, je peux dire que j’aurai beaucoup apporté à ce festival. Je n’ai pas été contactée par les organisateurs. En fait, je ne comprends vraiment pas pour quelle raison on ne m’a pas conviée, d’autant plus que je suis l’une des rares interprètes féminines de la musique andalouse, constamment présente sur la scène algérienne», dira-t-elle.
La seule explication qu’elle trouve serait cet esprit prévalant au sein de cette grande famille de la musique andalouse algérienne qui veut qu’une femme, quel que soit son niveau de maîtrise et de savoir, n’aille pas plus loin que le premier rang d’une formation, toujours derrière le maître. «Dans ce pays, hélas, la jalousie l’emporte assez sur le reste», affirme Mme Kara Torki.
Faut-il rappeler que ces femmes interprètes ont beaucoup apporté à cette musique et continuent de le faire ? Bheidja Rahal a enregistré, à elle seule, 12 noubas et poursuit son travail de recherche en introduisant, chaque fois, des morceaux inédits qu’on croyait disparus et qu’elle a, elle, pu dénicher dans des bibliothèques à l’étranger, en Espagne notamment. Zakia Kara Torki s’est, elle aussi, distinguée par sa voix et la maîtrise de son art sur la scène algérienne à laquelle elle se réserve exclusivement et sur laquelle elle est l’une des rares, pour ne pas dire la seule, à se produire régulièrement.
A toutes ces femmes qui ont su s’imposer sur la scène où, avec leur voix et leur «richa», elles se sont taillé une place de «maître», s’ajoutent d’autres absents «hommes» comme cheikh El Ghaffour, Nasser Eddine Chaouli ou Nouri Koufi jouissant d’une grande notoriété, qui auraient pu enrichir ce festival et surtout le faire connaître auprès du grand public. D’autant plus qu’il en est à sa première édition et qu’il a donc besoin d’être médiatisé et soutenu. Mais cet avis n’est pas partagé par le directeur général du festival, Samir Zeghmi.
«En fait, on a préféré privilégier les associations de la musique andalouse qui sont au nombre de 13, ce qui est énorme. Nous avons établi le programme en fonction de notre budget, et il ne faut pas oublier que c’est la 1re édition. On a invité des artistes étrangers qui nous ont d’ailleurs beaucoup aidé par rapport aux cachets, vu que ce sont des amis du commissaire. Cheikh El Ghaffour est au hadj. Quant à Bheidja Rahal, qui est une amie du commissaire, Zakia Kara Torki, Nasser Eddine Chaouli et aux autres interprètes connus, ils bénéficient de cachets forts élevés que nous ne pouvons nous permettre. Il ne faut cependant pas oublier que nous avons quand même invité des artistes de talent, de grosses pointures comme El Khaznadji, Dib Layachi et Hadji Kacem», explique-t-il.
En conclusion, pour démentir toute idée d’exclusion ou de sexisme, M. Zeghli assure que les interprètes, hommes et femmes, qui ne sont pas invités à cette première édition, le seront certainement pour la deuxième, l’année prochaine.
F. B.
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Oumelkheir

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MessageSujet: Re: festival de l'endalous   festival de l'endalous EmptyMer Déc 27, 2006 10:33 am

Et voici la réponse du berger à la bergère Wink
Interpellant le directeur du Festival international de la musique andalouse
Beihdja Rahal et Zakia Kara Terki dénoncent
les propos sur leurs cachets
Mercredi 27 Décembre 2006
Par Hassan Gherab
Les propos du directeur du Festival international de la musique andalouse qui se tient à Alger, Samir Zeghmi, à propos de la cherté des cachets de certaines interprètes et rapportés par la Tribune dans son édition de samedi dernier n’ont pas tardé à provoquer des réactions chez les concernées. Beihdja Rahal, qui est nommément citée, sera la première à réagir à travers une lettre transmise à la rédaction du journal. Ne voulant ni croiser le fer ni polémiquer, Mme Rahal commencera par préciser qu’il n’était en aucun cas dans son intention de remettre en cause les choix des organisateurs. «Il est évident que le choix des participants aux différents festivals à travers le monde, et pas seulement en Algérie, se fait à la libre appréciation de ses organisateurs. Il n’est pas dans mon intention de contester ou de dénigrer l’organisation ou bien le choix des participants à ce Festival international de la musique andalouse qui se tient à Alger. Je suis artiste, interprète de musique andalouse, je me produis sur la scène algérienne aussi souvent que cela est possible, c’est-à-dire à chaque fois que je suis invitée à le faire», écrit-elle. Ces précisions posées, elle interpelle M. Zeghmi qui avait déclaré que les organisateurs avaient établi le programme en fonction du budget alloué au festival et qu’ils avaient «invité des artistes étrangers qui nous ont d’ailleurs beaucoup aidé par rapport aux cachets, vu que ce sont des amis du commissaire […] Quant à Beihdja Rahal, qui est une amie du commissaire, Zakia Kara Torki, Nasser Eddine Chaouli et les autres interprètes connus, […] ils ont des cachets fort élevés que nous ne pouvons nous permettre», avait-il poursuivi.
A ce propos, Beihdja Rahal écrit qu’elle se retrouve ainsi «être l’amie du commissaire du festival [ ! ] au même titre que les artistes étrangers invités, en manquant pourtant de la même ‘‘générosité’’ dont ils semblent avoir, eux, bénéficié. Ne connaissant pas du tout Monsieur Samir Zeghmi, et n’ayant à aucun moment été contactée pour une éventuelle participation à ce festival, je m’étonne qu’il puisse juger de mon cachet avec autant de liberté». «Je l’ai à chaque fois déclaré dans les interviews que j’accorde à la presse : je suis toujours très heureuse de me produire sur la scène algérienne et honorée par la présence d’un public de connaisseurs à mes concerts. Jusque-là, j’ai toujours ‘‘bénéficié’’ d’un cachet en ‘‘dinars algériens’’ avec tous les frais supplémentaires en moins [hébergement, restauration, extras…], car venant ‘‘chez moi’’, en Algérie, malgré ma résidence à l’étranger. Alger, capitale de la culture arabe 2007 sera un événement culturel incontestablement important. Il le sera bien plus si on pouvait lui épargner de tels agissements», conclut l’artiste interprète de musique andalouse. Zakia Kara Terki, qui a rendu visite hier au journal en compagnie de son manager pour présenter sa nouvelle production, nouba Ghrib II, aura, à l’évocation du sujet, la même réaction outrée que Beihdja Rahal.
«Ils ne m’ont pas contactée. Ils ne m’ont pas invitée à participer à ce festival. Je ne vois pas comment ce monsieur peut parler de mon cachet», affirme-t-elle. Son manager nous révélera qu’à la lecture de l’article de la Tribune, il est allé voir M. Zeghmi et lui a demandé de publier un démenti.
Le directeur dira qu’il n’avait jamais tenu ces propos et rejettera tout sur notre journaliste qu’il accusera d’avoir déformé ses propos.
«Je lui ai alors demandé d’appeler en ma présence votre journal et d’exiger que vous publiiez un rectificatif. Je le lui ai demandé trois fois, mais il ne l’a pas fait», dira le manger de Mme Kara Terki. Contacté, hier, par la journaliste qui l’avait interviewé et pris des notes, M. Zeghmi est revenu sur ses déclarations et niera avoir parlé de cachets.

H. G.
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ismouche

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MessageSujet: Re: festival de l'endalous   festival de l'endalous EmptyMer Déc 27, 2006 1:56 pm

je pense que ce festival se veut international car j'ai entendu à la tele algerienne ENTV que les participants nationaux etaint tous des associatons plutot que des individus puisque il y deja tellement d'assocaiations que les inviter tous en ferais plutot un festival national et que le principe est de connaitre ce qui se fait ailleurs pour une richesse culturelle
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