[Quizz] Quizz cinématographique

Un autre un autre Quizzz !!!!
Vite OMK

Non, maintenant c'est à celui qui a donné la bonne réponse que revient le droit d'en poser une nouvelle, à moins qu'il ne passe son tour.
Sinon et 24h plus tard, si personne n'a encore posé de question, là le prochain qui veut en poser une nouvelle a le droit de le faire.

ça fait exactement 23h que l'énigme a été resolue ::::: plus que 60mn et je pose la mienne !!!

Au moins quelqu'un qui respecte les lois de la république ça fait plaisiiiiiiir

ça fait 27h que la réponse de Blonda a été validé par OMK et du coup le champ est libre aux poseurs de questions !!!!

alors comme souvent, voici une question visuelle ::

KESKISI, DEKELFILM SI IXTRI, KILA RIALIZI ???

encore une fois
lobscure casse le tirlire jackpot ding ding ding ding




hey missiou pichu tu pou m'envoyer lou frik

le film c "they live" (invasion los angeles) de john carpenter avec Roddy Piper; Keith David ; Meg Foster

Ahhhhhhhhhhhhhhh, un de mes films préférés ya khouya P-Chu ! Un vrai bonheur, un petit bijou qui ne paye pas de mine mais... Je l'ai vu il y a quelques années , vous ne devinerez jamais où ? Sur l'ENTV ! Il ont dû croire que c'était un simple film de bagarre et il leur a donc échappé, c'est sûr ! hi hi hi

Bref. Il s'agit de They live (titre français : Invasion Los Angeles) de John Carpenter (1989), avec Roddy Piper et Keith David. J'ai synthétisé rien que pour vos beaux yeux, plusieurs extraits de différents sites web.

Citation :

John Nada (Roddy Piper), un ouvrier au chômage, arrive de Denver à Los Angeles en vue de chercher un emploi. Il trouve un emploi précaire dans un chantier, se voit malgré tout dans l’obligation de loger dans un bidonville (Justiceville), et fait la connaissance de Franck (Keith David) qui devient son ami. Rapidement, John remarque des activités incessantes et bien mystérieuses dans une église. Mais une nuit, les forces de l’ordre envahissent brutalement la chapelle et détruisent tout sur leur passage, sans raison apparente. Intrigué, John remarque le lendemain un carton de lunettes de soleil dissimulé derrière un mur ayant échappé à la vigilance des forces de police. Après les avoir posées sur ses yeux, ce qu’il découvre le stupéfie. Le monde est gouverné par des extraterrestres d'apparence humaine que l’on ne peut distinguer que grâce à ces lunettes et des messages subliminaux sous forme de panneaux publicitaires contrôlent la population (OBEY, DO NOT QUESTION AUTHORITY, CONSUME, etc...). Critique à peine voilée de la politique qui manipule les masses afin qu'elles ne pensent pas par elle même....La seule utilité des masses étant qu'elles travaillent et surtout qu'elles consomment.

Le rythme lent, la musique lancinante instaurent un climat pesant. Conçu presque comme un documentaire dès le début, c’est un témoignage sur l’ère "Reagan", quand les valeurs de la droite, du capitalisme, étaient affichées avec excès. Pourtant, l’œil de Carpenter nous place du coté des opprimés, des exclus que la société écarte. Ainsi, John Nada, le héros, n’est pas épargné, c’est un loser, un marginal, presqu’un clochard. Sans domicile fixe, sans travail, il n’est "rien" (d'ailleurs "nada" en espagnol signifie "rien") et son prénom est celui d’un anonyme dans la foule, que l’on ne remarque pas. Brillamment interprété par Roddy Piper, ex-star du catch, le héros est un personnage optimiste tout du moins au début du film. Il croit en son pays, à ses valeurs, mais la réalité qu’il va découvrir va le clouer sur place jusqu’à ce qu’il décide de se battre seul ou presque contre le reste du monde. Il devient alors sage, ironique, se révolte et son opinion n’est plus aussi tranchée.

Incontestablement, LA scène du film c’est la rixe opposant Franck et John. D’une durée très longue (7 minutes tout de même), comme la lenteur qui s’exerce dans la première partie du film, c’est aussi le déclencheur qui va conduire les héros à modifier leur comportement et à aller de l’avant. Comme s’il s’agissait d’une étape transitoire, comme si le fait de devenir un privilégié pour pouvoir "voir" le vrai monde devait passer par le fait d’un rite, le duel opposant les deux protagonistes va se révéler extrêmement violent, en attesteront leurs blessures aux visages. C'est aussi la scène chiante par excellence car dans le style du "Je veux que tu mettes les lunettes !… Non je ne les mettrai pas !!!!" on a rarement fait mieux ! Carpenter n’a d’ailleurs pas choisi Roddy Piper pour rien, ses compétences athlétiques en attestent et c’est une baston d’hommes à laquelle il nous est donné d’assister. Pas de kung-fu, mais de vrais coups de poings, de vraies prises de catch qui auront nécessité un travail d’un mois et demi pour cette fameuse bagarre aux coups réels portés. Cette scène clé déclenchera un retournement de situation important puisque maintenant les deux hommes "verront". L’esclave deviendra libre. Il est intéressant de noter que l'histoire de "Matrix" suit la même trame que celle de "Invasion Los Angeles".

L'aspect le plus dérangeant de ce conte futuriste très noir est surtout à trouver dans l'attitude de certains humains - en particulier celle du personnage féminin principal (Meg Foster), le seul jamais créé par Carpenter qui soit négatif -, qui sont au courant de la présence des aliens et de leurs objectifs mais qui collaborent avec eux, qui en quelque sorte vendent leur âme au Diable pour accéder à la fortune et à la prospérité, ceci au détriment et au mépris le plus total du genre auquel ils appartiennent; un constat qui donne froid dans le dos. L'on peut donc dire que ce film est une version du mythe de Faust en même temps qu'un vibrant hommage à "L'Invasion des Profanateurs", le roman de Jack Finney (les aliens infiltrés), et à "1984", le classique de George Orwell (les messages subliminaux invisibles à l'oeil nu, que n'aurait pas reniés Big Brother).

Mais finalement, Carpenter a fait ce film pour nous montrer sa vision pessimiste de l'être humain, dont le seul réel désir est de gagner le plus d'argent possible, peu importe la manière (au diable la dignité!) et pour poser une question importante: ce genre de société existe-t-il vraiment dans la réalité? Vivons-nous réellement dans un système régi par des extra-terrestres invisibles (assimilés par Carpenter aux Républicains, dont l'ambition première est également de conquérir le monde) qui prônent la consommation à outrance et la course au profit, au pouvoir et au 'bonheur'? Sorti en salles onze ans avant "Matrix" (qui traite d'un sujet similaire, à savoir l'existence d'une société parallèle asservissante), "Invasion Los Angeles" - titre français idiot car l'invasion en question a déjà eu lieu et ne concerne pas la seule ville de Los Angeles, mais bien la terre entière - est plus fort, plus intéressant et bien sûr, vraiment très dérangeant. La rage destructrice de Carpenter est ici à son paroxysme.

Ce film est un très grand moment de cinéma libertaire.

... et je passe la main, pas la peine d'attendre 24 h !

Lobscure, ta réponse quand j'ai décidé de poster n'y était pas ! Moi j'étais occupée à faire la synthèse !

la tienne non plus hannouna

mais ce qui m'amuse ce qu'on la tous vu sur l'entv
trop bo ce film j'addorais le revoir

de toute façon j'allais passer la main, j'aime pas trop poser les question apres vous me direz s3iba j'ai pas le temps,

Bravo Lobscure et Blonda vous avez tous les deux trouvé !!!!

et comme vous ne voulez pas poser de question, la règle des 24h est abrogée !!!! et je déclare le Quizz ouvert !!!!

au suivant !!!

Wach pas de nouvelle question?
Aya, un autre film, assez vieux celui-là, datant des années RTA. Adaptation d'un livre, une histoire qui vient du froid .

Une petite question toute simple pour vous, mordus de ciné (et de google) que vous étes

De quel film je parle ?

Citation :

Dans une tribu isolée, sans contact avec la « civilisation », se produit un miracle : un objet extraordinaire, une bouteille, est tombé du ciel. Transparente et très dure, elle peut servir de pilon, de flûte, de récipient et de bien d'autres choses encore. Un cadeau des dieux pour ce peuple sympathique où l'on partage tout. Oui mais ...

Cette vulgaire consigne, qu'un aviateur peu écolo a jetée par-dessus bord, est si utile que tout le monde en a besoin en même temps. La belle entente d'autrefois fait place à des querelles incessantes.

Le conseil de la tribu se réunit et décide qu'"il" ira au bout du monde pour rendre ce cadeau "empoisonné..."

le film je l'ai vu et je l'ai beaucoup aimé ...magnifique!!! c'est effectivement l'histoire d'une bouteille qui fait un vacarme tellement effrayant lorsqu'elle tombe du ciel que ça fait peur à tout le monde
d'ou le titre du film "T9AR3IDJ" c'est un vrai film d'horreur
à moi de poser les questions!!

Cher géant, donne nous ta réponse puis pose mille question si tu veut mon cher ami

Amen a écrit:

Une petite question toute simple pour vous, mordus de ciné (et de google) que vous étes

De quel film je parle ?

Citation :

Dans une tribu isolée, sans contact avec la « civilisation », se produit un miracle : un objet extraordinaire, une bouteille, est tombé du ciel. Transparente et très dure, elle peut servir de pilon, de flûte, de récipient et de bien d'autres choses encore. Un cadeau des dieux pour ce peuple sympathique où l'on partage tout. Oui mais ...

Cette vulgaire consigne, qu'un aviateur peu écolo a jetée par-dessus bord, est si utile que tout le monde en a besoin en même temps. La belle entente d'autrefois fait place à des querelles incessantes.

Le conseil de la tribu se réunit et décide qu'"il" ira au bout du monde pour rendre ce cadeau "empoisonné..."

LES DIEUX SONT TOMBES SUR LA TETE

Trés bonne réponse mon cher Mouh, a toi de poser ta question

Merci Amen de ne pas avoir lu juste le message précédent au tien je suis là quand même et je n'ai rien voulu dire mais j'ai posé une question avant toi hier soir, alors réponse d'abord s'il vous plait

Je laisse la main RESPECTUEUSEMENT à OMK
Un film venu du froid ??
C'est bien cela ?

Oumelkheir a écrit:

Merci Amen de ne pas avoir lu juste le message précédent au tien je suis là quand même et je n'ai rien voulu dire mais j'ai posé une question avant toi hier soir, alors réponse d'abord s'il vous plait

J'ai honte de moi chere Oumelkheir, excuse moi ma bétise, j'ai lu ton poste, mais avec le QI que j'ai j'avait pas compris que tu posait une question, j'ai cru comprendre que tu voulais des questions sur des films de cette époque.

Milles excuses encore

Mais non Amen, y a pas de quoi avoir honte quand même pas à ce point quand même on s'amuse c'est tout
Alors je repose ma question pour ceux qui ne l'auraient pas compris.
Film adapté d'un livre, assez ancien pour ne pas avoir été vu par certains ou nombreux d'entre vous, une histoire qui vient du froid

- L'espion qui venait du froid
- L'été froid de 1953
- La fiancée qui venait du froid
- J'ai faim, j'ai froid
- Les héros n'ont pas froid aux oreilles

Je jure que ce sont de vrais titres de films, faut pas croire... et yen a encore toute une liste !

Mais avec un peu de réflexion, je pense que ce serait plutôt dans le genre :
- La petite fille aux allumettes
- La fée des neiges
- Blanche Neige
- Quand fond la neige où va le blanc ?
- Des temps et des vents
- Le vent ne sait pas lire
- Brise-glace
- Le Grand Nord
- L'âge de glace


Sérieusement, donnes-nous un peu plus d'indices quand même! Comment on va trouver comme ça ?

Vraiment Blonda, google yekhdem m3ak
C'est justement ça les premiers indices :
1- film adapté d'un livre.
2- assez ancien, pour n'avoir (probablement mais pas sur) pas été vu par certains d'entre vous.
3- une histoire qui vient du froid, notez bien l'histoire et non pas le film, justement en référence à l'espion qui venait du froid (d'où?) mais elle raconte une autre époque

le docteur Jivago ??

Se référant à "l'espion", il était enrôlé dans l'armé (de force)
"Qui vient du froid", le film (et le livre) traitent de l'époque de la révolution bolchevique je crois, et en Russie il fait froid ha ben 3ammi

Gibraltar tu n'es pas loin du tout, je dirais même que tu brules
ya3ni, t'es dans la bonne ambiance, à peu près

Guerre et paix d'après le livre de Tolstoï

Pour le film, il y deux versions :

- l'américaine de King Vidor avec Audrey Hepburn, Mel Ferrer et Henry Fonda (1956)

- la russe de Serguei Bondartchouk avec Ludmila Savalieva, Irina Skobtseva et Viatcheslav Tikhonov (1962)

Je peux vous affirmer que la russe a TOTALEMENT écrasé l'américaine !

... si c'est ça, je passe la main ... sinon, désolée hi hi hi