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 Portrait du maire de guenzet

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Abdallah
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pititchi
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pititchi

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MessageSujet: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptyJeu Jan 22, 2009 7:34 pm

Amar Benadouda. Médecin, ancien président de la FAF, maire de Guenzet



Le médecin appelé au chevet d’une région oubliée



Le
fait que l’homme distingue le bien du mal prouve sa supériorité
intellectuelle par rapport à toute autre créature. Mais le fait qu’il
puisse mal agir prouve l’infériorité de son esprit.



Mark Twain





Les
yeux qui pétillent et les cheveux blancs, la bouille ronde et la voix à
peine audible. Ne dites surtout pas à ce presque octogénaire qu’il est
expansif. Immanquablement, il rétorque qu’il n’est peut-être pas
timide, mais discret, et qu’il ne veut nullement s’exposer. « Pourquoi
faire ? Je vais mon chemin tranquillement, je fais mon devoir, je ne
vois pas pourquoi je devrais susciter un quelconque intérêt »,
avance-t-il en guise d’introduction, nous mettant dans une gêne
apparente qu’il dévisage facilement. Pourquoi donc sommes-nous là, en
ce jour pluvieux, dans ce vétuste cabinet où il a tant servi, en tant
que médecin, au cœur du quartier populaire de Belouizdad. C’est que
Amar, personnage affable et courtois de par son parcours, a défrayé la
chronique, même s’il s’échine à faire admettre qu’il a toujours vécu
d’une manière cachée fuyant les mondanités et les distinctions. Il a
été tour à tour militant, médecin, cadre de la santé, président de la
FAF et actuellement maire de Guenzet à 78 ans.
Amar Benadouda est né en 1931 à Harbil dans le fier pays des Beni Yala.
Son père Khalfa avait émigré jeune à Saint-Etienne en France où il
était ouvrier. Il y est resté 3 ans avant de retourner au terroir et
aux rudes tâches de la terre. Puis, il exercera au CFRA au début des
années 1930, ce qui vaudra à la famille de résider à La Casbah puis à
Belcourt rue Jules Sevry pas loin de Dar El Babor. « En face de chez
nous, il y avait une école coranique que j’ai fréquentée dès l’âge de 5
ans sous la férule de cheikh Mohamed Benazouz, un gars de Laghouat qui
savait, mieux que quiconque, nous faire apprendre les versets du saint
Coran. » Par la suite, la famille dut déménager à la rue de Suez, puis
se fixera à la rue Darwin.



Une enfance belcourtoise


« Il y avait dans le quartier deux écoles dont l’une réservée
exclusivement aux indigènes. J’ai eu la chance de me former dans
l’autre, mais nous formions une bande de copains et jouions ensemble au
foot. Je me souviens des Hamrour, Boukhalfa… » Le débarquement des
alliés à Alger en novembre 1942 et la fermeture des écoles plongeront
la ville dans une autre atmosphère décrite d’ailleurs par les chanteurs
de l’époque : « Come on bye-bye. » Amar retourne au village où il
apprendra toute la crasse et la cruauté de la misère, mais aussi… la
langue kabyle. « C’était l’année du typhus et j’ai le souvenir sombre
d’une période tragique où la région a enregistré beaucoup de morts.
Jeune, j’étais envahi par des sentiments ambivalents. Un sentiment de
liberté dans ces contrées montagneuses, mais hélas aussi un sentiment
d’abandon pour ces terres livrées à elles-mêmes, rongées par la misère
et par le désarroi des hommes et des femmes qui y vivaient mais qui
restaient armés d’une foi inébranlable. Le désir du savoir et de la
connaissance a toujours été un credo partagé chez les Beni Yala. »
Après les affres de la guerre, Amar retourne à Alger pour poursuivre
ses études classiques au lycée Gautier (Omar Racim). « J’étudiais le
latin, le grec et la littérature, mais mon père voulait que je sois
médecin. C’est ainsi que j’ai opté pour l’actuel lycée El Idrissi
jusqu’au bac que j’obtins au début des années 1950. » Toubib, Amar y
pense comme jamais, comme dirait l’autre, un métier bien appris vaut
mieux qu’un gros héritage. Amar tournera le dos à la faculté d’Alger
« où il y avait beaucoup de comportements racistes » pour se rendre à
Montpellier. Ce choix n’est pas fortuit : « D’abord, pour une question
de climat presque similaire à celui d’Alger et aussi parce qu’il y
avait dans cette ville des étudiants de Belcourt, des nationalistes
comme Belhocine, Aïssiou Akli, Djennas, Aroua, des aînés qui étaient
aussi des exemples pour nous. Enfin, Montpellier, c’était la deuxième
université importante après Paris qui renfermait bon nombre
d’Algériens. »
Amar y poursuivra ses études de 1952 jusqu’à la grève de mai 1956 qui
mettra un terme à son cursus. Amar, militant engagé, retourne à Alger
avant de rejoindre la Fédération de France du FLN et d’intégrer le
bureau du parti et du GPRA à Madrid.



Des études achevées à Lausanne


En 1961, Amar reprend ses études de médecine à l’université de
Lausanne. Il en sortira avec son diplôme en poche en 1964. Il rentre au
pays pour exercer son métier. « Personnellement, je m’étais engagé dans
le secteur public en exerçant à la polyclinique de Belcourt jusqu’au 19
juin 1965 où l’administration, je ne sais pour quel motif, me muta à
Blida. J’y suis parti. Mais tombé malade quelques jours après, je n’ai
pu m’y rendre. On m’intima l’ordre de rejoindre mon poste au risque
d’être sanctionné. Comme je ne pouvais me déplacer, je n’ai pas
obtempéré et je suis resté sans activité pendant 7 mois. Une véritable
galère. C’est Tedjini Haddam, alors ministre de la Santé, qui m’a remis
les pieds à l’étrier. Je suis retourné à la polyclinique de Belcourt
avant d’être nommé directeur de l’Institut national de la santé
publique. C’est là qu’on a commencé à développer les premiers
programmes de santé publique. On s’est mobilisé pour lutter contre le
paludisme, on dénombra pas moins de 50 000 cas chaque année. On a
développé le programme de vaccination de nutrition, contre la
tuberculose. Lorsque le Dr Omar Boudjellab a pris les commandes du
département ministériel, il m’a fait appel pour être directeur de la
santé tout en poursuivant ma mission au sein de l’institut avec le même
salaire, dois-je préciser. » Un grand chantier a été lancé avec
Mme Laliam pour le planning familial, Mme Benallègue pour la pédiatrie,
l’ophtalmologie avec M. Djennas et toute l’école de chirurgie avec
Mentouri, Ghalib… la médecine avec Illoul, Lebon, l’orthopédie avec
Benhabyles, Brahimi, Ferrant, Mehdi… Les professeurs de médecine,
mondialement connus à l’instar du Pr Carpentier, venaient donner des
conférences à Alger. La médecine gratuite slogan populiste ? « Je suis
un pourfendeur des faux-semblants, mais l’idée était noble dans la
mesure où il était question de faciliter l’accès aux soins pour le plus
grand nombre de citoyens, notamment pour les démunis et les plus
vulnérables. Certes, il y a eu des dérapages mais le secteur en a
largement bénéficié, les Algériens aussi. De ce fait, je rends un
vibrant hommage à tous ceux qui se sont mobilisés, souvent dans des
conditions difficiles, pour sauvegarder la santé publique. On a dû
batailler dur pour obtenir les crédits et atteindre les objectifs. »
Parallèlement au fait qu’il maniait le stéthoscope, Amar, pour ceux qui
l’oublient, sait aussi taper du ballon. Il a même été président de la
Fédération algérienne de football (1971-1974).
« C’est Abdallah Fadhel, alors ministre de la Jeunesse et des Sports,
qui m’a fait appel. On a formé une équipe de rêve, des dirigeants de
grande valeur tels que Abdoun, Miloud Brahimi, Kara Terki et d’autres,
la plupart des cadres universitaires. On a mis au point un programme
basé sur la formation. On avait embauché un coach, Makri qui a fait un
travail formidable, découvreur de jeunes talents et entraîneur
passionné par son métier. Il avait déjà mis en avant le volet physique
du football moderne. » « Un jour, les responsables du foot français
sont venus chez nous. A l’époque, je leur avais signalé l’émergence des
footballeurs africains qu’on voyait venir à grandes enjambées défier
les autres grâce à leur technique mais aussi à leur physique. Deux
aspects qui font aujourd’hui le foot moderne, l’histoire m’a donné
raison puisque ces footballeurs aujourd’hui sont les ossatures des plus
grands clubs de la planète. Lorsque nous étions aux commandes du sport
roi, nous n’étions pas nantis en matière d’argent, d’équipement et
d’infrastructure et le sport n’était pas une priorité pour un pays
davantage occupé à se reconstruire. Malgré cela, des progrès tangibles
avaient été enregistrés couronnés par la première consécration
nationale aux Jeux méditerranéens de 1975. Je ne dis pas que nous en
sommes les artisans, mais nous y avions participé… » Le constat de la
situation actuelle de notre football est loin d’être reluisant et Amar
est le premier à s’en plaindre. Les mots sont posés un à un sur des
charbons ardents.



Ancien patron de la FAF


Le sport algérien aujourd’hui d’une manière générale est comme un
train brinquebalant serpentant dans des chemins indécis. « Vous n’avez
qu’à voir les résultats plus que décevants, pour vous en convaincre. Un
club, c’est d’abord une école. L’intrusion de l’argent ? C’est une
réalité. Mais le bon professionnalisme, c’est de produire des richesses
à travers le sport et s’autofinancer avec. Regardez le Real ou le
Barça, ce sont de véritables entreprises. Elles se financent par les
socios, par la pub, par les sponsors, mais aussi et surtout par le
spectacle produit. Cela ne les empêche pas d’avoir des écoles
florissantes. Ici, on ne produit rien, pas même le spectacle. Il y a un
problème d’encadrement. Le foot est devenu une science qui fait appel à
la technologie, à la pédagogie, à la psychologie à l’anatomie, à la
diététique, aux techniques de préparation avérées. Nos encadreurs
ont-ils toutes ces qualités ? Ne parlons pas des joueurs qui sont loin
d’être des exemples sur le terrain et qui sont souvent à la base de la
violence constatée et qui n’a aucun sens. » Depuis plus d’une année,
Amar s’est retiré dans son village à Timengache où sa retraite a été
bousculée par son élection à la tête de la mairie de Guenzet. « Les
gens sont venus me voir et m’ont sollicité pour ce poste, car je suis
un homme de consensus. Je suis parti avec des idées simples, un maire
ne défend pas son parti mais ses administrés et sa localité. » Amar a
la tâche difficile dans une région difficile pour ne pas dire hostile,
en considérant la configuration géographique. « Il faut y croire et je
me suis promis d’en faire une petite Suisse. Vous savez, dans les zones
rurales isolées et dans la conscience collective, le maire, c’est
l’Etat, et on n’a pas le droit de décevoir, en améliorant constamment
les conditions des citoyens. Les élus doivent répondre à des attentes
parfois urgentes. La loi n’est pas toujours adaptée. Il faut que les
gens aient confiance en eux-mêmes. Il faut stabiliser l’exode et faire
en sorte que la région ne soit pas éternellement le creuset d’hommes
toujours en partance ailleurs. Tenez, par exemple, le barrage de
Bouhamza a ouvert des perspectives prometteuses. Les gens reviennent
progressivement à la figue et à l’olivier. Il faut un développement
d’économie durable qui puisse pérenniser les efforts pour la
reconstruction des villages fatigués, délaissés et au bord de
l’effondrement.Vous savez, il y a toujours des esprits chagrins pour
critiquer à tout-va. Mais il faut prendre les choses dans leur plein
alors qu’on les prend trop souvent dans leur vide ». C’est un peu
l’histoire du verre qu’on apprécie, selon qu’il soit à moitié plein ou
à demi vide.








PARCOURS
A 78 ans, Amar garde l’enthousiasme juvénile et une énergie
remarquable. Né à Harbil en 1931, il a vécu à Belcourt, a fait des
études à Montpellier qu’il a arrêtées lors de la lutte de libération. A
la veille de l’indépendance, il a gagné Lausanne où il a achevé ses
études. Médecin à Belcourt, cadre de la santé, président de la FAF et
actuellement maire de Guenzet pour laquelle il rêve de grands projets.
Il aime à répéter avec humour qu’il ne faut plus se contenter de
tikerbabine et de chlita et qu’il est impérieux de développer cette
région délaissée, en axant sur l’aménagement des routes, en mettant à
la disposition de la population toutes les conditions inhérentes à une
vie décente (eau, électricité, transport, scolarité des enfants, sports
loisirs…) Un vaste programme en perspective…

Par Hamid Tahri ElWatan
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hamid

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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptySam Jan 24, 2009 2:20 am

Un vaste programme en perspective…
C'est l'histoire pratiquement de toutes les mairies d'Algerie ou tout est a refaire ou presque.je lui souhaite du plaisir.il a du chemin a faire vu son excellent parcours.
Les benadouda n'arrêterons pas de nous impressionner. Shocked
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forzi

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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptySam Jan 24, 2009 9:15 am

Amar Benadouda! Ce nom me dit quelque chose et celui de la commune dont il est le maire aussi . Je finirai bien par me souvenire de lui c'est sûr !!

Mais d'ores et dejà et au vue du parcours du monsieur , je n'ai qu'un mot à dire , enfin deux:


ALLAH YBAREK !
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ELMAREG

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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptySam Jan 24, 2009 9:42 am

chitta chitta
le prbleme keskil va faire pr ça nation. excellent parcour queen
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Edraum

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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptySam Jan 24, 2009 10:10 pm

il est ou notre dodo , il vx po fair de com ???
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Abdallah

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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptyDim Jan 25, 2009 12:14 am

Edraum a écrit:
il est ou notre dodo , il vx po fair de com ???

quoi ?????
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Edraum

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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptyDim Jan 25, 2009 12:59 am

walou , jai rien dit !!!!!!!!!!!!!!! :p
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kamel Eddine

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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptyDim Jan 25, 2009 1:25 am

Abdallah a écrit:
Edraum a écrit:
il est ou notre dodo , il vx po fair de com ???

quoi ?????
elle t'as dit pas de commentaire?
Ps: Wellah je ne suis pas Edraum fermacha fermacha
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Abdallah

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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptyDim Jan 25, 2009 1:45 am

kamel Eddine a écrit:
Abdallah a écrit:
Edraum a écrit:
il est ou notre dodo , il vx po fair de com ???

quoi ?????
elle t'as dit pas de commentaire?
Ps: Wellah je ne suis pas Edraum fermacha fermacha

Vous ne pensez quand même pas que je vais commenter un article sur mon père ? C'est mal me connaître.
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais je ne poste même pas mes propres chroniques radio sur le forum (à part une ou deux je crois).

Alors ici je ne suis qu'un forumeur comme vous.

Bon j'ai un QI supérieur à celui de Forzy, kwikwi et kamel eddine, mais ça ce n'est pas un exploit Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil

Enfin, vous avez compris ce que je veux dire...

Et Merci pour lui Wink
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Kwitzach

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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptyDim Jan 25, 2009 10:55 am

Abdallah a écrit:
Bon j'ai un QI supérieur à celui de...kwikwi...
Bien sur et mon cul c'est du dodo Twisted Evil
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elbouleida




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MessageSujet: hommage   Portrait du maire de guenzet EmptyDim Jan 25, 2009 10:39 pm

excusez moi Abdellah de vs avoir pose la question sur mon aine votre papa je n'avais pas encore lues commentaires pour ma part j'estime qu'il a tout le merite et trasmettez lui mes respects et mes hommages pour son parcours de doyens de tout et l'insp j'y suis en plein dedans dites lui qu'on continue à faire les stat pour d'autres maladies meme ceux de guenzet!!!!!!!!!!!
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Abdallah

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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptyLun Jan 26, 2009 1:03 am

Portrait du maire de guenzet Ammar-ghoul
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cherie20

cherie20


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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet EmptyLun Jan 26, 2009 9:57 am

[quote="elbouleida"]excusez moi Abdellah de vs avoir pose la question sur mon aine


tu lui a pose des question sur son aine????


et l'autre la ,sa moustache est toujours asymetrique!!!!
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MessageSujet: Re: Portrait du maire de guenzet   Portrait du maire de guenzet Empty

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