pititchi
Nombre de messages : 1321 Age : 40 Localisation : face a mon pc a qasantina Date d'inscription : 01/04/2007
| Sujet: Quand on est con on est con...... Mar Aoû 26, 2008 2:53 am | |
| Un mois après le discours du président Bouteflika devant les maires, les premiers effets des mesures annoncées concernant les investisseurs étrangers commencent à se faire sentir. Les milieux d’affaires occidentaux et arabes ont accueilli avec beaucoup de prudence et d’étonnement l’annonce des nouvelles orientations en matière d’investissements étrangers. La semaine dernière, le journal britannique Financial Times, très influent parmi milieux d’affaires, a publié une analyse dans laquelle il s’est montré très critique à l’égard de la politique économique algérienne. Quelques jours auparavant, le quotidien économique français La Tribune faisait un constat encore plus sévère concernant la politique du chef de l'Etat algérien. Plus inquiétant, en France, plusieurs entreprises ont gelé momentanément des projets prévus en 2008 en Algérie, a appris toutsurlalgerie.com auprès de source proche du patronat français. Les investisseurs français veulent d’abord connaître les détails des nouvelles mesures que comptent mettre en place le gouvernement avant de se lancer dans des projets. Ces annonces interviennent dans un contexte d’incertitude politique sur fond de retour en force des attentats terroriste et de préparation de la révision de la Constitution. A Paris, les milieux d’affaires redoutent que l’Algérie adopte la même politique que le Vénézuela. Ce dernier s’est en effet lancé dans une politique de nationalisation qui touche la quasi-totalité des secteurs. «Le résultat est là : toutes les entreprises quittent le Vénézuela. Si le pétrole baisse, ce pays va se retrouver dans une situation catastrophique», explique un économiste. Les milieux d’affaires français se méfient particulièrement d’Ahmed Ouyahia. Ils estiment qu’il a largement inspiré le discours du chef de l’Etat devant les maires, le 23 juillet dernier. Le nouveau Premier ministre a la réputation d’être un partisan d’une relance du secteur public. «M. Ouyahia ignore les réalités économiques mondiales. Au moment où la Chine et la Russie sortent progressivement du tout-Etat, l’Algérie veut y retourner. Le terrorisme fiscal et administratif n’a jamais été efficace pour une économie», souligne le même économiste. Mais si les milieux d’affaires français sont prudents depuis les dernières annonces, ceux des pays du Golfe sont carrément furieux. Ils estiment que le discours du président de la République a nuit considérablement à leur image de marque. «Le président Bouteflika a mis tout le monde dans le même sac, les spéculateurs et les investisseurs sérieux. Pourquoi dans tous les pays arabes, les fonds du Golfe ont lancé des projets et pas en Algérie ? M. Bouteflika devrait se poser cette question au lieu d’accuser tout le monde», explique une source proche d’un grand fonds d’investissement du Golfe. Fin juillet, moins d’une semaine après le discours de Bouteflika, Emaar, qui a gelé ses projets en Algérie, lançait la commercialisation d’une des plus importantes stations touristiques du nord du Maroc, un projet de plus d’un milliard de dollars. source : Tout sur l'algerie.com
Dernière édition par pititchi le Jeu Aoû 28, 2008 3:19 am, édité 1 fois | |
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silence
Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 05/06/2007
| Sujet: Re: Quand on est con on est con...... Mer Aoû 27, 2008 2:17 am | |
| certe un géle des projets et tres nuisible pour l'economie, et l'etat s'est lancè dans une reforme copier coller des autres systeme, sans se soucier vrement de se qui ne fonctionnait pas dans le pays, chaque pouvoir ou systeme est un cas a part, et je pense que la generalisation de ces lois et cette politique va nuir a la bonne marche economique, pour moi chaque entreprise ou futur projet et investissement doit etre regler et conditionner selon sa nature, au cas par cas sa serait plus efficace | |
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